Pierre Leroux débute au quotidien montréalais Le Devoir en 1978, alors qu’il n’a pas vingt ans et qu’il termine sa licence de droit[1].
Il enchaîne rapidement les reportages à l’étranger — en Allemagne notamment sur les traces de l’OTAN, puis à La Havane à l’heure où se dessine l’exode de Mariel en 1980 — et entre au Journal de Montréal[4] où il écrira jusqu’en 1995[1].
Fable aux parfums slaves qui retrace l’itinéraire d’un rêveur enivré du rire de celles qu’il ne parvient pas à séduire, Le Rire des femmes[5], paru au Québec en 1996[6], fut en lice l’année suivante pour le prix du Premier Roman de la francophonie remis en Charente[1].
Cher éditeur (éd. Albin Michel)[7] paraît en 2004 à Paris. Roman épistolaire, il s’amuse volontiers des liaisons sanguinaires qu’entretiennent auteurs et éditeurs au sein du cartel de Saint-Germain-des-Prés[8].
Pierre Leroux écrit également pour le cinéma. Il a notamment signé plusieurs scénarios avec le réalisateur français Claude Lelouch (au nombre desquels : Une pour toutes[9], And now… Ladies and Gentlemen[10], L’Amour c’est mieux que la vie[11] et Finalement[12]).
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