Pierre KrebsPierre Krebs
Pierre Krebs, né le à Alger, est un universitaire, essayiste franco-allemand, rattaché au courant de la Nouvelle Droite. Depuis son installation en Allemagne au début des années 1980, il est considéré comme l'une des figures majeures du courant de la Neue Kultur. BiographieIl étudie la philosophie et le droit à l’université de Montpellier et le journalisme à l’École supérieure de journalisme de Paris, puis la sociologie et la science politique à la Sorbonne. Après s'être installé en Allemagne, il étudie à l'université de Göttingen, puis devient chargé de cours à l'université de Cassel. En 1992, il soutient une thèse de doctorat en littérature française, portant sur « Paul Valéry face à Richard Wagner » à l'université Paris XII[1]. Au milieu des années 1960, il milite au sein du courant national-européen, avec Dominique Venner, en participant au Mouvement nationaliste du progrès, puis en animant le Rassemblement européen de la liberté dans le Languedoc. Il est ensuite l'un des fondateurs du GRECE (« Nouvelle Droite »), et participe à la revue Éléments. En 1980, il fonde à Cassel (Allemagne) le Thule-Seminar (« Séminaire Thulé »), un cercle de Nouvelle Droite, qu'il anime jusqu'à aujourd'hui. Sa production est publiée principalement en allemand. Le , il participe à la « Table ronde » de l'association Terre et Peuple à Paris, intitulée « Les Blancs ont-ils un avenir ? »[2]. Le , il prononce une allocution au congrès « Europe : le réveil ou la mort », organisé à Genève par le mouvement Résistance Helvétique. Tomislav Sunic et Robert Steuckers ont participé eux aussi à ce congrès[3]. ThèsesDans son livre Combat pour l'essentiel, il dénonce les fondements idéologiques du multiculturalisme et développe un contre-modèle, celui de l'hétérogénéité des peuples[4]. Ouvrages
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