Pierre-Ferdinand de Bausset-Roquefort est issu d'une famille de la noblesse de Provence qui a compté plusieurs prélats et dignitaires parmi ses membres.
Il est le fils de Joachim de Bausset, seigneur de Roquefort, officier des galères et de Marie Françoise Gabrielle Thomassin de Reillane[1].
Pendant la première Restauration, il se rallie avec ostentation à Louis XVIII, puis fait de nouveau allégeance à Napoléon pendant les Cent-Jours. Malgré ces palinodies, Louis XVIII le nomme archevêque d'Aix le , même s'il ne prend possession de ce siège qu'en [1].
D'azur au chevron d'or accompagné en chef de 2 étoiles à 6 raies d'argent[5].
Hommages
En Bretagne, au moins trois rues portent son nom, d'après Les noms qui ont fait l'histoire de Bretagne, 1997
Références
↑ abcde et fJacques-Olivier Boudon, Les élites religieuses à l'époque de Napoléon. Dictionnaire des évêques et vicaires généraux du Premier Empire, Paris, Nouveau Monde éditions / Fondation Napoléon, , 313 p. (ISBN2-84736-008-5), p. 61-62.
↑Jacques-Olivier Boudon, L'épiscopat français à l'époque concordataire 1802-1905, Paris, Le Cerf, coll. « Histoire religieuse de la France », , 589 p. (ISBN9782204053013), p. 308-318.
↑Emmanuel de Waresquiel, Un groupe d'hommes considérables. Les pairs de France et la Chambre des pairs héréditaires de la Restauration 1814-1831, Paris, Fayard, , 502 p. (ISBN2-213-62839-4), p. 183-184, 414.
↑Comte de Saint Saud, Armorial des prélats français du XIXe siècle, Paris, 1906, H. Daragon, 415p., p.185. Consultable sur Gallica.
Voir aussi
Bibliographie
Jacques-Olivier Boudon, Les élites religieuses à l'époque de Napoléon. Dictionnaire des évêques et vicaires généraux du Premier Empire, Paris, Nouveau Monde éditions / Fondation Napoléon, , 313 p. (ISBN2-84736-008-5), p. 61-62.