Il reçoit commande de monuments aux morts comme ceux d'Avesnes-sur-Helpe dans le Nord, inauguré en 1929[9],[10], de Feignies également dans le Nord, de Pont-sur-Sambre dans le Pas-de-Calais, érigé dans le cimetière de la commune (entrepreneur Bavay Lixon)[11], ou encore de Meknès au Maroc (architecte Gaston Goupil), inauguré en 1925[12], où il sculpte également la statue en fonte de près de 2 tonnes du général Joseph-François Poeymirau, inaugurée le sur la place qui fait face au lycée du même nom[13].
↑Paris et Ile-de-France ; mémoires, Volume 47, Numéro 2, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Île-de-France, Paris, Klincksieck, 1996 (BNF34378577) (extraits en ligne).
↑« Place Constantin-Pecqueur. square Joël-Le Tac. monument à Steinlen. Montmartre » sur montmartre-secret.com.
↑Exposition organisée sous le patronage de la ville de Paris au profit des œuvres de guerre de la société des artistes français et de la Société Nationale des Beaux-Arts (S.N.B.A.) au Petit Palais des Champs Élysées du 1er mai au 30 juin 1918, p. 40 : « no 760, Paul Vannier, 25 rue Lepic, S.N.B.A., Homme malade ; bronze, esquisse, cire perdue ».
↑N O. H., « On a retrouvé la maquette en plâtre du monument aux Morts : Le monument aux Morts d’Avesnes a été érigé en 1929. Il y a quelque temps, la ville a retrouvé la maquette qui a permis la réalisation de ce monument. », L'Observateur de l'Avesnois, no 19492, , p. 8.