Les ancêtres de Paul Pisani sont des franco-italiens établis au Levant à la fin du XVIIIe siècle. Ils travaillent pour les ambassades de France et de Russie à Constantinople.
Son père, Emmanuel Pisani est né à Odessa le et mort à Paris en 1881.
Carrière
Paul Pisani est ordonné prêtre en 1878. Il est un ami proche de Maurice d'Hulst, fondateur de l'Institut catholique et devient son secrétaire de 1884 à 1888[1].
Études d'histoire religieuse : À travers l'Orient - 1987
Répertoire biographique de l'épiscopat constitutionnel (1791-1802) - 1907
Les Missions protestantes à la fin du XIXe siècle, Librairie Bloud, (lire en ligne)
L'Église de Paris et la révolution, Alphonse Picard et fils, éditeurs, (lire en ligne)
Les Compagnies de prêtres du XVIe au XVIIIe siècle - 1928
Notes et références
(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Paul Pisani » (voir la liste des auteurs).
↑ a et bFrancesco Beretta. Monseigneur d'Hulst et la science chrétienne : portrait d'un intellectuel. Paris: Éditions Beauchesne, 1996, p. 14, fn. 2. (ISBN2-7010-1343-7)
↑(en) Harriet Bjelovučić, The Ragusan Republic : Victim of Napoleon and Its Own Conservatism, Brill Archive, (lire en ligne), p. 164.
↑(en) Actes, U.S. National Committee of the International Geographical Union, National Academy of Sciences--National Research Council, (lire en ligne), p. 495
« Paul Pisani, Professeur à l'Institut Catholique de Paris »
.
↑(en) Mary Eloise Bradshaw, The Napoleonic Influence on the Illyrian Provinces, University of Wisconsin--Madison, (lire en ligne), introduction
« ...racially, with Albe Paul Pisani, when he says that the pretended unity of the Illyrian Provinces was partly imaginary »