Dans sa nouvelle Photos, issue du recueil Des putains meurtrières, l'écrivain chilien Roberto Bolaño le décrit ainsi : « et voici Patrice Cauda, avec sa tête à battre sa femme, qu'est-ce que je dis sa femme, sa fiancée »[2].
Œuvres
Pour une terre interdite, R. Debresse, 1952, préface de Henri Rode
L'Épi de la nuit, éd. Debresse, 1953, réed. Saint-Germain-des-Prés, 1984