Gouverneur du Maniema à partir de février 1992[4], il se fait remarquer pour son autoritarisme, ainsi que par la mise en place d'un système clientéliste[5].
Il s'oppose à la vague de démocratisation décidée par Mobutu à partir de 1993 et envoie en 1994 et 1995 la garde civile zaïroise contre la population soutenant l'opposition. Cette force paramilitaire commet alors des violations des droits humains[6].
Rapport du Projet Mapping concernant les violations les plus graves des droits de l’homme et du droit international humanitaire commises entre mars 1993 et juin 2003 sur le territoire de la République démocratique du Congo, (lire en ligne).