Olivier Andrieu écrit des livres sur Internet depuis 1994[1].
Parallèlement à son activité de référenceur et à ses publications sur le sujet, il a aussi publié quatre livres sur René Goscinny et l'univers d'Astérix de 1999 à 2009[2] ainsi qu'un roman, intitulé "L'Empreinte Sacrée", paru en mars 2021.
Activité de consultant SEO
En 1996, il se spécialise sur les moteurs de recherche et devient consultant indépendant en référencement naturel. Le , il crée la société Abondance et lance le site éponyme en 1998. Il est considéré comme un pionnier et professionnel de référence de l'optimisation pour les moteurs de recherche en France[3],[4].
Le 1er mars 2023, il indique arrêter sa carrière de consultant en référencement naturel afin de se consacrer à son activité de scénariste de bande dessinée[5] et transfert le site Abondance, le site Réacteur ainsi que les formations formaseo à l'agence KHOSI.
Ses trois livres "Réussir son référencement web", "Le SEO en 500 questions" et "Référencement Google mode d'emploi" seront repris à partir de 2024 par Daniel Roch[6].
Distinction
En , il est élu meilleur référenceur français par un jury composé par le Journal du Net[7].
Bibliographie
Internet
Internet - Guide de connexion, Eyrolles. 1994.
L'Officiel d'Internet, Eyrolles. 1995, 1996.
Internet et l'entreprise en collaboration avec Denis Lafont-Trevisan, chez Eyrolles. 1996.
Méthodes et outils de recherche sur l'Internet, chez Eyrolles. 1997.
Trouver l'info sur l'Internet, 1998.
Créer du trafic sur son site Web, 1999.
Trouver l'info sur le Web, chez Eyrolles. 2001.
Imaginer son site Web, chez Microsoft Press / Dunod. 2001.
Google, le guide web, chez Micro Application. 2003.
Google, Trucs de Pros, chez Micro Application. 2004.
Réussir son référencement web, 10 éditions depuis 2008. Dernière édition : 2020/2021.
SEO Zéro Euro, chez Eyrolles, 2014.
Référencement Google, Mode d'emploi, chez Eyrolles, 2020.
Le SEO en 500 questions: Tout savoir sur le référencement !, chez Eyrolles, 2021.
Astérix
Le livre d'Astérix le Gaulois, éditions Albert René, 1999.