Oise Hebdo
Oise Hebdo est un hebdomadaire régional d’informations générales, diffusant dans le département de l'Oise. HistoriqueIl a été créé en 1994 par Vincent Gérard qui est l’actionnaire majoritaire de la société éditrice (Société de Presse de l’Oise). Il a une diffusion totale payée de 8 015 exemplaires (OJD - DSH 2021). Depuis sa création, Oise Hebdo a obtenu six « étoiles » de l’OJD qui récompensent, chaque année, les meilleures croissances de diffusion. Le journal comprenait trois éditions, Depuis le dernier trimestre 2016, les 3 éditions sont regroupées. Oise Hebdo emploie 12 journalistes professionnels, à plein temps, et, au total, 21 personnes. Une des spécificités de cet hebdomadaire est de posséder une évidente liberté de ton[réf. nécessaire]. Consacré à 100 % à l’actualité départementale, Oise Hebdo accorde une place prépondérante aux informations politiques, judiciaires et aux faits divers. Mais la plus grande partie est consacrée à l'actualité des 693 communes du département et à la vie associative des citoyens de l’Oise. Le journal a également connu un regain de notoriété sur Internet en 2011[1], liée à ses unes spectaculaires, pouvant être comparées à celles des tabloïds anglais[2]. Les articles et unes provocantes ont conduits le journal à connaître plus d'une trentaine de procès entre sa fondation et 2017[3]. Depuis 2019, Oise Hebdo a développé son site oisehebdo.fr dont la fréquentation atteint, selon l'ACPM, en moyenne, un million de visiteurs uniques par mois. Ce qui place oisehebdo.fr au deuxième rang de la presse hebdomadaire régionale selon le classement mensuel de l'ACPM. Le journal est critiqué pour avoir partagé le les informations personnelles du policier responsable de la mort de Nahel Merzouk. Le ministre de l'Intérieur a annoncé avoir saisi le procureur de la République[3]. La femme du policier et son enfant de 5 ans avaient dû être placés sous protection. En août 2024, le directeur de l’hebdomadaire est condamné par le tribunal de Compiègne à 4 000 euros d’amende dont 2 000 euros avec sursis[4]. Les chiffres de l'OJD
Bibliographie
Liens externes
Notes et références
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