Nouvelles religions chinoises

Les nouvelles religions chinoises (xinxingzongjiao 新興宗教) sont un ensemble de mouvements religieux syncrétistes apparus en Chine et à Taïwan à partir de la fin du XIXe siècle, dont les deux plus importants sont Yiguandao (Ikuan Tao) et Falun Gong. Beaucoup dérivent directement ou indirectement du courant taoïste syncrétique Xiantiandao (先天道), « Voie du ciel originel », fondé selon la tradition par Huang Dehui (黃德輝 1684-1750), neuvième maître d'une école dans la mouvance de Quanzhen Dao. Xiantiandao soutient que la vérité se trouve dans l'union des trois écoles (taoïsme, bouddhisme et confucianisme). Sa divinité principale est la "Mère ancienne non-née" (無生老母).

Contexte

Un rapport d'Amnesty International datant de 2002 dénonce la campagne « Frapper Fort » qui viserait à persécuter la grande majorité des groupes religieux en Chine ainsi que la liberté d'expression en général. Les années cinquante gardent d'ailleurs le souvenir de la répression du mouvement Yiguandao.

Le régime de Mao Zedong avait alors lancé une campagne visant à éliminer tout groupe religieux, les assimilant à des sociétés secrètes et les définissant, par voie de conséquence, comme des associations de criminels.

Il est difficile, dans ce contexte, de discerner les véritables informations de celles que le gouvernement a fait circuler dans le but de se débarrasser des groupes religieux. Par ailleurs, les différences entre les cultures occidentales et chinoises laissent la porte ouverte à l'incompréhension, aux contresens et aux amalgames faciles.

Principaux mouvements et caractéristiques de Xiantiandao[1],[2]

  • Tiandeshengjiao ou Tiandejiao (天德聖教) "Sainte école de la vertu céleste" fondée en 1899 dans le Sichuan par Xiao Changming (蕭昌明)
  • Tongshanshe (同善社) "Société du bien" reprise en 1912 par Peng Huilong (Sichuan)
  • Daoyuan (道院) "Sanctuaire du Tao" fondé en 1916 dans le Shandong sous le nom de Daodeshe (道德社) "Société du Tao et de la vertu" (nom changé en 1921) ; il fonda l'organisation charitable du Svastika rouge.
  • Yiguandao (Ikuan Tao) (一貫道) "Voie unique" repris en 1930 par Zhang Tianran (Shandong)
  • Cihuitang (慈慧堂) "Temple de la charité" fondé à Taïwan en 1949
  • Tiandijiao (天帝教) "École de l'empereur céleste" fondée en 1978 à Taïwan par Li Yujie (李玉階), ancien disciple de Tiandeshengjiao.
  • Miledajiao (彌勒大教) "Grande école de Maitreya" fondée en 1988 à Taïwan par Wang Haode, originaire du Shandong, ancien disciple de Yiguandao (branche directe)
  • Haizidao (亥子道) fondé en 1984 à Taïwan.

Tongshanshe et Yiguandao revendiquent une origine commune à partir de Huang Dehui ; les écoles se seraient séparées à l'époque du treizième maître de Xiantiandao, Yang Shouyi. Les autres mouvements apparus avant 1949 ne font pas état de leur histoire, mais s'apparentent à Xiantiandao par leur doctrine.

Syncrétisme

Le syncrétisme de fait entre différents courants religieux est fréquent en Chine où l’allégeance exclusive à une divinité ou une confession unique n’a jamais été de rigueur. Néanmoins, certains mouvements se distinguent en structurant délibérément leur doctrine autour d’une vérité universelle qui serait présente dans les enseignements des trois grandes écoles de pensée chinoise : taoïsme, bouddhisme et confucianisme. En fait, si cette position réalise bien un syncrétisme superficiel (panthéon, rites, concepts, vocabulaire d’origine composite) favorisant au premier abord la diffusion auprès d'un large public, sur un plan plus profond l’école peut tendre au sectarisme : en effet, elle prétend offrir immédiatement l’essentiel là où les autres n’en présentent qu’un aspect. Ses adeptes n’ont donc pas de raison d’aller voir ailleurs.

L’idée que les trois courants idéologiques contenaient la même vérité était déjà énoncée par les néo-confucéens de la dynastie Song. Dans l’optique confucéenne, à l’origine nullement métaphysique, cette similitude peut s’interpréter comme preuve de l’universalité des valeurs morales, sociales et politiques. Évelyne Micollier fait remarquer que l’attirance pour ces mouvements syncrétistes peut parfois refléter un sentiment d'orgueil national ou ethnique, la conviction de l’universalité de la pensée chinoise.

Millénarisme

Sa présence dans l’idéologie des religions naissantes ou qui ont du mal à percer est presque systématique. En Chine, il s’inscrit dans une vision cyclique de l’évolution de l’univers. Les religions héritières de Xiantiandao considèrent que l’univers a traversé deux cycles depuis sa création, « l'Ère du Yang vert » et celle du « Yang rouge », au cours desquels une partie des êtres a été sauvée ; l'« Ère du Yang blanc » sera - ou est déjà pour certains, dont Yiguandao - celui du salut de la totalité des êtres restants. Le millénarisme chinois n'a donc pas le même sens que ce qu'entend l'Occident par ce terme.

Sectarisme

Les mouvements cités n'ont pas pour politique délibérée de couper leurs adhérents des non-convertis ; néanmoins, comme tous les groupes religieux émergents, ils sont marqués par leur conviction de détenir la vérité dans un monde ignorant et le désir de s'individualiser, sentiments qui ne s'effacent pas à la même vitesse que leur croissance. Un mouvement comme Yiguandao se démarque donc par la tendance sectaire de nombreux adhérents, qui détonne dans l'ensemble religieux traditionnel. Ces nouvelles religions ont d'un autre côté un profond désir d'expansion ainsi que d'acceptance et de participation sociale. Le tiraillement entre ces deux tendances contradictoires est aussi une de leurs caractéristiques. Mais, il est vrai que le fait de penser détenir une vérité est commun à tous les groupes religieux et non religieux quels qu'ils soient.

La Sainte mère

Depuis son apparition au XVIIe siècle, la doctrine de la mouvance Xiantiandao est centrée autour d'une « mère divine », déité taoïste qui apparait sous plusieurs noms (« Sainte mère non-née », « Mère d'or du bassin de jaspe » etc.). Son rôle est sotériologique et eschatologique ; c'est en effet elle qui sauve les êtres au fur et à mesure de chaque cycle. Une telle figure se dessine dès les premiers temps du taoïsme avec l'adoption de Xiwangmu, gardienne du jardin d'immortalité de la mythologie chinoise. La « Sainte mère » est souvent considérée comme l'une des formes de la divinité suprême des nouvelles religions, en même temps que d'autres figures empruntées au bouddhisme et au confucianisme, voire à des religions non-chinoises. Les chefs de mouvement ou les fidèles peuvent privilégier la version qui correspond le mieux à leur sensibilité.

Évolution néo-confucianiste

Le confucianisme est à l'origine un système moral, un idéal social et politique et non une religion. Le virage néo-confucianiste des nouvelles religions se traduit donc par un certain effacement de l’aspect mystique ou magique au profit d’une attitude plus raisonnable et moins passionnelle, plus axée sur la morale que sur la croyance proprement dite ; il peut correspondre à un recentrement de l’objectif de la pratique religieuse sur la préservation du bien-être familial et social plutôt que sur la réalisation spirituelle, ou au désir de rendre l’école plus acceptable pour les autorités.

Du fait de sa réputation de croyance populaire empreinte de magie, les références claires au taoïsme se font plus discrètes, ce qui n'empêche pas la persistance de son influence, et particulièrement le maintien de pratiques telles que le gong fu, l'écriture spirituelle, la fourniture de talismans, qui conservent un fort pouvoir attractif. L'élément bouddhiste, qui jouit d'un prestige grandissant, est mis en avant dans la personne des chefs souvent parés des titres de bouddha ou bodhisattva.

Influence de la politique

Le développement des nouvelles religions chinoises est fortement influencé par le contexte politique. En Chine populaire, les mouvements religieux font l'objet de répression dès qu'ils prennent assez d'importance pour être vus comme réseau de soutien possible pour l'opposition. Les deux mouvements qui avait pris le meilleur départ avant 1949, Yiguandao et Tongshanshe, furent victimes de leurs relations politiques. Le premier avait, pour faciliter son expansion, négocié un accord avec le gouvernement fantoche du temps de l'occupation japonaise. Cet acte de collaboration lui valut d'être interdit après le retour au pouvoir de la République de Chine aussi bien à Taïwan que sur le continent. Le second fut interdit dès 1927 pour ses alliances réactionnaires anti-républicaines.

Que ce soit à Taïwan ou sur le continent chinois, les nouvelles religions ne prennent pas ou n'avouent pas de position politique. Cependant, c'est l'influence politique croissante des Chinois locaux implantés dans l'île avant 1949 qui a permis à Yiguandao d'y être légalisé en 1987. Du fait de l'orientation politique de la majorité de ses membres, cette religion bénéficie de l'arrivée au pouvoir du DPP. Tiandijiao, fondé par un ancien membre du KMT né sur le continent chinois, a au contraire beaucoup recruté dans ce parti.

À l'inverse, la Chine continentale est souvent pointée du doigt par les organismes de défense des droits de l'Homme pour son intolérance religieuse et le non-respect des conventions internationale en matière des droits humains. Certains rapports d'Amnesty International et Reporters sans Frontières donnent des exemples de cas où les autorités chinoises auraient défini comme opposants politiques, les groupes qu'elles cherchent à éliminer.

Religions chrétiennes

Religions confucéennes

Falun Gong

Le Falun Gong (法轮功), aussi appelé Falun Dafa (法轮大法), se base sur une ancienne discipline de qigong, transmise au grand public par Li Hongzhi. Sa particularité est de revenir à la source des enseignements du qigong, nom moderne donné à l’ancien terme « xiulian » (littéralement : « cultivation-pratique ») signifiant cultiver l’esprit et en même temps exercer le corps[3]. Les traditions orientales ne considèrent pas le corps et l’esprit comme indépendants et enseignent à les harmoniser en travaillant sur l’un comme sur l’autre. De multiples variétés de « cultivation-pratique » se retrouvent partout dans l'histoire chinoise ; elles sont issues des traditions bouddhistes, taoïstes et confucéennes et recouvrent également le domaine des arts martiaux internes[4],[5]. Le Falun Gong vise à garder le corps en bonne santé et éveiller la conscience au maintien d'une bonne moralité. Son enseignement combine la pratique de la méditation, d'exercices aux mouvements lents et souples et le travail sur soi à travers trois principes fondamentaux : Authenticité, Bonté, Tolérance ou Zhen, Shan, Ren[6],[7]. En Occident, vu la difficulté à lui trouver un équivalent, le Falun Gong n’est généralement pas vu comme un groupe religieux, mais comme une pratique ou un mouvement spirituel[8],[9].

La transmission publique du Falun Gong a commencé en 1992 ; il a été rapidement reconnu et soutenu par les autorités chinoises[10]. Sa popularité s'est très vite accrue grâce aux nombreux témoignages de guérisons et d'améliorations de la santé physique et morale[11], au point que sept ans plus tard, les sources occidentales et les organisations gouvernementales chinoises estimaient à environ soixante-dix millions le nombre de Chinois qui le pratiquait[12],[13]. Face à ce succès fulgurant, les autorités chinoises ont exercé à plusieurs reprises des pressions pour rendre la pratique payante et pour renforcer l'influence du Parti communiste chinois (PCC) sur cette dernière[14],[15]. Ces tentatives de contrôle ont provoqué l'effet inverse, amenant le Falun Gong à s'affirmer progressivement comme une école de qigong autonome et indépendante du pouvoir.

Le PCC, dirigé à l'époque par Jiang Zemin, est alors devenu hostile au Falun Gong et a commencé en 1999 la répression de cette pratique sur le territoire de la République populaire de Chine. Le Bureau 610[16] est créé afin de coordonner cette répression et d'orchestrer une campagne de propagande[17] et de diffamation de la pratique à l'échelle nationale et internationale par les médias d'État chinois. Celle-ci comprend notamment le lavage de cerveaux dans le milieu professionnel, social et éducatif. Les pratiquants sont ensuite dénoncés et arrêtés à travers la Chine[18],[19],[20],[21]. Lors de leur emprisonnement, ils sont sujets à de mauvais traitements, aux tortures, aux meurtres[22],[23] ainsi qu'à des prélèvements forcés d'organes revendus clandestinement[24],[25],[26]. Ces violations massives des droits de l'homme ont été rapportées et dénoncées par le Parlement européen[27],[9], les Nations Unies[18], de nombreuses organisation de défense des droits de l'homme[28],[21], des gouvernements[8], des avocats internationaux[24] et des personnalités[29] dans le monde entier.

Malgré la persécution, le Falun Gong continue à être pratiqué clandestinement en Chine. Il s’est aussi développé en dehors de la Chine en devenant une pratique de qigong de plus en plus populaire. À ce jour, le Falun Gong est pratiqué dans de nombreux pays à travers le monde[30] et ses enseignements ont été traduits dans plus de quarante langues[31].

Références

  1. (en) David A. Palmer, « Redemptive Societies in Cultural and Historical Context », Journal of Chinese Theatre, Ritual and Folklore / Minsu Quyi, vol. 173,‎ , p. 1-12 (lire en ligne, consulté le )
  2. « Tiandi official website - 天德教前期歷史探討 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  3. Henri Maspero, Le Taoïsme, Essais : « Il faut y joindre une vie pure et l’exercice des vertus morales. Les deux séries de pratiques se complètent et ont une importance égale. Le plus grand alchimiste du IVe siècle, Ge Hong, le dit formellement : Ceux qui n’accomplissent pas d’actes de vertu et se contentent de pratiquer les procédés magiques n’obtiendront jamais la Vie Éternelle ». Édition posthume, Éditions Gallimard, 1971.
  4. Henri Maspero, Le Taoïsme, Essais : « Les Taoïstes anciens pour qui l’Immortalité n’était possible que dans la survivance du corps matériel, avaient fort à faire pour transformer le lourd corps mortel en un corps immortel léger, où les os et la chair fussent d’or et de jade. Il fallait pour cela se livrer à de nombreuses pratiques, qu’un livre religieux du IIIe siècle avait résumées dans les quatre vers suivants () : Qui avale le Cinabre et garde l’Un / Ne finira qu’avec le Ciel / Qui fait revenir l’Essence et pratique la Respiration Embryonnaire / Aura une longévité sans bornes. » Édition posthume. Éditions Gallimard, 1971.
  5. (en) Paula Peterson, The Way of Self Cultivation : « Dans ce qui est appelé le Grand Apprentissage, le Confuscianisme révèle le processus par lequel le développement personnel est atteint et comment, par celui-ci, découlent le service et le chérissement de l'humanité, l'étude des phénomènes, l'apprentissage, la sincérité, la droiture d'intention, l'auto-développement, la discipline familiale, l'harmonie personnelle et universelle. » The Spirit of Ma'at, Vol 3, No 7.
  6. (en) Zhao Yuezhi, « Falun Gong, Identity, and the Struggle over Meaning Inside and Outside China », dans Nick Couldry et James Curran (dir.), Contesting Media Power : Alternative Media in a Networked World, Rowman & Littlefield Publishers, coll. « Critical Media Studies : Institutions, Politics, and Culture », (ISBN 978-0742523852, lire en ligne)
  7. (en) David Ownby, Falun Gong and the Future of China, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-973853-3, lire en ligne), p. 93 : « La nature de l'univers, d'après Li Hongzhi, est composée de qualités morales et les pratiquants sont encouragés à appliquer dans leurs vies l'authenticité, la compassion et la tolérance. »
  8. a et b (en) « House Resolution 605 », United States House of Representatives, (consulté le )
  9. a et b « Résolution du Parlement européen du 12 décembre 2013 sur le prélèvement d'organes en Chine », Parlement Européen, (consulté le )
  10. (en) Adam Frank, « Falun Gong and the Threat of History », dans Mary Ann Tétreault et Robert A. Denemark (dir.), Gods, Guns, and Globalization : Religious Radicalism and International Political Economy, Lynne Rienner Pub, coll. « International Political Economy Yearbook », (ISBN 978-1588262530, lire en ligne), p. 235
  11. (en) David Ownby, Falun Gong and the Future of China, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-973853-3, lire en ligne), p. 88-89
  12. (en) Seth Faison, « In Beijing : A Roar of Silent Protesters », New York Times,‎ (lire en ligne, consulté le ) : « L’estimation du gouvernement de 70 millions de pratiquants représente un groupe important dans une nation de 1,2 milliard d'habitants. »
  13. (en) Renee Schoof, « Growing group poses a dilemma for China », The Philadelphia Inquirer,‎  : « [Le Falun Gong] enseigne la moralité et l'acceptation, ce qui correspond à ce que le gouvernement de Pékin désire voir. Cependant, en comptant plus de membres qu'il y en a dans le Parti communiste - 70 millions, d'après l'Administration du sport de l'Etat - le Falun Gong fonctionne aussi comme un formidable réseau. »
  14. (en) Noah Porter, Falun Gong in the United States : an ethnographic study, University of South Florida, , 288 p. (ISBN 978-1-58112-190-2, lire en ligne)
  15. (en) Danny Schechter, Falun Gong’s Challenge to China : Spiritual Practice or "Evil Cult" ?, New York, Akashic Books, , 287 p. (ISBN 978-1-888451-27-6, lire en ligne), p. 66
  16. (en) I.C. Smith et Nigel West, Historical Dictionary of Chinese Intelligence, Scarecrow Press, coll. « Historical Dictionaries of Intelligence and CounterIntelligence », (ISBN 978-2-88124-840-5), p. 34 : « the Chinese Communist Party's Central Committee created a special office in July 1999 to supervise the Falun Gong issue, which later became the Department of External Security Affairs and then Central Bureau 610. »
  17. (en) David Ownby, Falun Gong and the Future of China, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-973853-3, lire en ligne), p. 176
  18. a et b Manfred Nowak, Rapport du Rapporteur spécial sur la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants : mission en Chine, document ONU E/CN.4/2006/6/Add.6, Commission des droits de l'homme des Nations Unies, (lire en ligne)
  19. (en) Ian Johnson, Wild Grass : three stories of change in modern China, Vintage Books, , 324 p. (ISBN 978-0-375-71919-6, lire en ligne)
  20. (en) Danny Schechter, Falun Gong’s Challenge to China : Spiritual Practice or "Evil Cult" ?, New York, Akashic Books, , 287 p. (ISBN 978-1-888451-27-6, lire en ligne), p. 42
  21. a et b (en) Mickey Spiegel, Dangerous Meditation : China's Campaign Against Falungong, New York, Human Rights Watch, , 117 p. (ISBN 1-56432-270-X, lire en ligne)
  22. (en) « China - Amnesty International Report 2008 », Amnesty International, (consulté le )
  23. (en) James Tong, Revenge of the Forbidden City : the suppression of the Falungong in China, 1999-2005, Oxford/New York, Oxford University Press, , 282 p. (ISBN 978-0-19-537728-6, lire en ligne)
  24. a et b David Kilgour et David Matas, Prélèvements meurtriers : deuxième rapport concernant les allégations de prélèvement d'organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine, (lire en ligne)
  25. (en) Edward McMillan-Scott, « Olympic athletes compete under the shadow of genocide », Yorkshire Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  26. (en) Ethan Gutmann, « “How many harvested ?” revisited », (consulté le )
  27. « Résolution du Parlement européen du 7 septembre 2006 sur les relations UE-Chine », Parlement Européen, (consulté le )
  28. « Chine : la répression s’abat sur le Falun Gong et d’autres « organisations hérétiques » », Amnesty International, (consulté le )
  29. (en) Edward McMillan-Scott, « We need new powers to rein in China », The Independant,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. « Contacts locaux », Falun Dafa.org (consulté le )
  31. « Liste des langues disponibles », Falun Dafa.org (consulté le )