En parallèle de ses activités de journaliste, Ishigaki siège également au comité d'éthique de l'organisation de la banque médicale d'échantillons de l'université du Tōhoku[2].
En raison de son histoire familiale, Ishigaki n'ayant pas connu un de ses grand-pères mort à la guerre, elle est très attachée au pacifisme de l'archipel japonais[2]. Comme la majorité des conseillers démocrates, elle s'oppose ainsi à une révision de la constitution du Japon. Elle est également opposée à l'utilisation de l'énergie nucléaire[6].
Sur des questions sociétales, elle se déclare favorable à l'ouverture du mariage aux couples homosexuels, et à la mise en place d'un système de quotas en politique afin de favoriser les femmes. Sur les sujets relatifs à la famille impériale, elle annonce être favorable à l'ascension au trône du Japon d'une femme[6]. Ishigaki est également favorable aux tentatives de changer la loi japonaise qui impose aux conjoints de porter le même nom[6].
Vie privée
Ishigaki vit avec sa fille à Sendai[2]. Elle divorce de son mari en 2020, à cause d'une liaison que Noriko Ishigaki entretient avec un juriste[7].