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Production : Julien Deris et David Gauquié (Cinéfrance Studios)
Coproduction : Jalil Lespert (Onzecinq) et Jean-Luc Ormières (Cinéfrance Studios) ; Florence Gastaud (Les Compagnons du Cinéma)
Sociétés de production : Cinéfrance Studios et Wild Bunch Distribution, en coproduction avec France 2 Cinéma et Onzecinq (France), Be TV / VOO La Compagnie Cinématographique, Panache Productions et Proximus (Belgique), en association avec 5 SOFICA
Sociétés de distribution : Wild Bunch Distribution ; Paradiso Entertainment (Belgique), Praesens Film (Suisse romande)
En , lors d'un entretien, Céline Sallette déclare être « en train d'écrire un film sur Niki de Saint Phalle », avec le scénariste Samuel Doux[7], après l'avoir vue dans un entretien datant de 1965 sur Instagram[8]. Ce premier long métrage est produit par Jalil Lespert[1] qui, d'ailleurs, avait également la même idée qu'elle[5], avec les sociétés françaises Cinéfrance Studios et Wild Bunch Distribution qui, cette dernière, gèrera aussi la distribution dans les salles françaises[9].
Attribution des rôles
En , Céline Sallette révèle son choix de Charlotte Le Bon dans le rôle de Niki de Saint Phalle du fait qu'elle lui ressemble, qu'elle a débuté comme mannequin et qu'elle est elle-même artiste[2],[8] : « Ça m’a aidée pour les gestes, je n’ai pas eu besoin de les apprendre. Le fait d’utiliser la création comme une sorte d’exutoire, c’est aussi un sentiment que je comprends parfaitement, donc je n’ai pas eu de mal à me plonger dedans », explique-t-elle[10].
Durant le tournage, la réalisatrice ne peut montrer aucune des œuvres de Niki de Saint-Phalle, faute d'accord avec les ayants-droit[14].
Accueil
Festival et sortie
Fin , la distribution Pulsar Content acquiert Niki pour les ventes internationales[9]. Mi-, cette société a vendu le film dans des territoires majeurs[15]. Le suivant, le film est sélectionné dans la section « Un certain regard » du Festival de Cannes[3]. Le , il entre en compétition pour la Caméra d’or[4]. La première projection a lieu en salle Debussy, en plein après-midi du [16].
Wild Bunch sort le film le dans les salles obscures[17].
Accueil critique
Pour Françoise Dargent du Figaro, « Céline Sallette évoque avec élégance et justesse le destin de Niki de Saint Phalle[18]. », de même qu'Odile Morain de France Info semble être émerveillée : « Charlotte Le Bon enfile avec grâce les beaux costumes et les tourments de l'artiste » dans le film qui « suit avec délicatesse l'éclosion progressive de ce papillon » et qui « a enchanté les spectateurs de la Croisette[19]. ».
lorsque Niki de Saint-Phalle visite le musée du Louvre, il s'agit des salles restaurées en 2023, postérieures aux grands travaux de celles en 1993 et à la restauration de la Victoire de Samothrace, et non de celles qu'aurait pu découvrir la plasticienne dans les années 1950,
lorsque Laura, fille de Niki, récite le Notre Père, elle utilise la formule « Ne nous laissez pas entrer en tentation » apparue seulement en 2017.