Nicolas d'Anjou-Mézières épouse le Gabrielle de Mareuil, morte en 1593, fille et héritière de Guy de Mareuil, seigneur de Mareuil et de Villebois et de Catherine de Clermont[7],[2],[3],[10]. Ce mariage est précédé d'une première cérémonie de mariage célébrée le , à l'insu du tuteur de Nicolas et que François de La Trémoille et Marguerite d'Angoulême tentent ensuite de faire annuler[11],[12].
Nicolas d'Anjou-Mézières et Gabrielle de Mareuil ont cinq enfants :
Henriette, née au château de Saint-Fargeau en 1543, morte jeune[7],[2],[8] ;
Antoinette, née à Mézières-en-Brenne le , morte jeune[7],[2],[8] ;
Joseph Durieux, Notes d'histoire sur la baronnie de Mareuil, Périgueux, Imprimerie de la Dordogne, , 22 p. (lire en ligne).
Hugues Imbert, « Le mariage de Nicolas d'Anjou seigneur de Mézières et de Gabrielle de Mareuil », Mémoires de la Société de statistique, sciences, lettres et arts du département des Deux-Sèvres, 2e série, vol. 12, , p. 179-238 (lire en ligne).
Maurice de Laugardière, « Les vitraux de Mézières-en-Brenne (Indre) », Bulletin archéologique du comité des travaux historiques et scientifiques, 1934-1935, p. 647-658 (lire en ligne).
(en) Kristen B. Neuschel, Word of Honor : Interpreting Noble Culture in Sixteenth-Century France, Ithaca-Londres, Cornell University Press, , 248 p. (ISBN978-0801421815, lire en ligne).
Françoise Perrot, « L'église Sainte-Marie-Madeleine de Mézière-en-Brenne », dans Congrès archéologique de France 142e session 1984 Bas-Berry, Paris, Société française d'archéologie, , 386 p. (lire en ligne), p. 192-200.
Patrick Van Kerrebrouck, Les Valois : Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, t. III, Villeneuve-d'Ascq, Patrick Van Kerrebrouck, , 735 p. (ISBN2-9501509-2-6).