La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[7].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 27,18 km2[11],[Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 27,13 km2[9]. L'altitude du territoire varie entre 117 m et 170 m[14].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Ladon à 16 km à vol d'oiseau[17], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 685,3 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].
Milieux naturels et biodiversité
Zones Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones Spéciales de Conservation (ZSC) et de Zones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[21],[22].
Les sites Natura 2000 présents sur le territoire communal de Nibelle sont les suivants[INPN 1] :
Un noyau est localisé dans la moitié sud-ouest de la commune, un autre dans la frange nord-ouest, en limite de la commune de Chambon-la-Forêt[24].
Le site de la « forêt d'Orléans » s'étend du nord-est de l'agglomération orléanaise jusqu'aux portes de Gien, suivant un arc de cercle d'une soixantaine de kilomètres de long et d'une largeur variant de 2 à 15 km environ. Cet ensemble forestier quasi continu est majoritairement domanial. La forêt domaniale est constituée de trois massifs distincts, de l'ouest vers l'est, les massifs d'Orléans, Ingrannes et Lorris, en périphérie desquels se trouvent d'autres parcelles forestières. La surface globale des trois massifs domaniaux est de 34 500 hectares. D'une surface totale de 32 177 ha, le site est constitué de deux grandes entités couvrant la presque intégralité des massifs forestiers domaniaux d'Ingrannes et de Lorris. Ces deux grandes entités englobent également d'autres parcelles forestières, ainsi que des étangs, en périphérie, de même que la grande « clairière » de Sully-la-Chapelle, Ingrannes et Seichebrières incluse dans le massif d'Ingrannes. Ce site présente un grand intérêt ornithologique notamment avec la nidification du balbuzard pêcheur, de l'aigle botté, du circaète Jean-le-Blanc, de la bondrée apivore, du busard Saint-Martin, de l'engoulevent d'Europe, des pics noir, mar et cendré, de l'alouette lulu et de la fauvette pitchou. Les étangs constituent par ailleurs des sites d'étape migratoire importants pour différentes espèces[INPN 2].
Le site de la « forêt d'Orléans et périphérie » d'une surface totale de 2 226,40 ha, est morcelé en 38 entités. Celles-ci, de tailles variables (de 0,9 à 347 ha), sont disséminées sur les 3 massifs et leurs périphéries. Au cours de la réalisation du document d'objectifs, à la suite des inventaires de terrain, l'absence d'habitat ou habitat d'espèce d'intérêt communautaire dans certaines entités a conduit à la proposition de leur suppression (13 entités concernées, pour une surface totale de 207,90 ha). L'intérêt du site réside dans la qualité des zones humides (étangs, tourbières, marais, mares), la grande richesse floristique, avec un intérêt élevé pour les bryophytes, les lichens et les champignons. 17 habitats naturels d’intérêt communautaire sont répertoriés sur le site qui présente aussi un intérêt faunistique, notamment l’avifaune, les chiroptères, les amphibiens et les insectes. Ce site présente une faible vulnérabilité dans les conditions actuelles de gestion ; il s’agit en effet de parcelles de forêt domaniale dont la gestion actuelle n’induit pas de contraintes particulières pour les espèces citées. Certaines comme le balbuzard pêcheur font l’objet d’une surveillance. D’autres espèces justifieraient un suivi, comme le sonneur à ventre jaune, l’aigle botté, la pie-grièche écorcheur[INPN 3].
Sélection de représentants de l'avifaune de la zone Natura 2000 « Forêt d'Orléans».
Zones nationales d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Les Bordes comprend une ZNIEFF[INPN 4] de type 2[Note 2], dénommée « Massif forestier d'Orléans ». D'une superficie de 36 086 hectares, elle s'étend sur 37 communes, dont Bouzy-la-Forêt, et se superpose pour la commune à la zone Natura 2000 de même nom[DREAL 1]. Son altitude varie entre 126 et 174 m[INPN 5]. La forêt d'Orléans repose pour l'essentiel sur des terrains de nature comparable à celle des terrains de la Sologne (Burdigalien) épandus sur le coteau de Beauce. Les formations végétales sont donc plutôt acidoclines à acidiphiles avec des secteurs secs et d'autres très humides. L'intérêt dépasse les contours complexes du massif domanial et s'étend également aux lisières et
enclaves privées qui le prolongent[INPN 6].
Urbanisme
Typologie
Au , Nibelle est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[26].
Elle est située hors unité urbaine[27] et hors attraction des villes[28],[29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (52,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (49,5 %), terres arables (22,7 %), prairies (15,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), zones urbanisées (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %)[30].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
La commune est traversée par quatre routes départementales : la RD 30 qui relie Ascoux à Nesploy et supporte un trafic de 2 198 véhicules/jour en 2014[31], la RD 9 (846 véhicules/jour), qui longe le territoire communal sur sa limite est et qui relie Fay-aux-Loges à Auxy[31], la RD 137 (594 véhicules/jour), qui relie la commune à Vitry-aux-Loges[31] et la RD 230 (168 véhicules/jour), qui la relie à Boiscommun.
La commune de Nibelle est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible)[33].
Entre 1989 et 2019, sept arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulées de boues et cinq pour des mouvements de terrains[34].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[35].
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sècheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sècheresse[36]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune, dont le bourg, est exposée à un aléa « fort » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[37].
Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[38]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[34].
Toponymie
Autrefois, la commune se nommait Nibelle - Saint-Sauveur.
Histoire
L'existence de potiers à Nibelle est attestée depuis 1285. Au XVIe siècle, le village est connu pour sa production de sifflets en terre cuite. Plusieurs milliers de fragments, datant de 1560-1570, ont été découverts lors de la démolition d'une maison du XVIIe siècle. Certains sont conservés au Musée historique et archéologique de l'Orléanais[39].
Entre le et le , plus de 2 800 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent dans le Loiret. Devant l'insuffisance des structures d'accueil d’Orléans, 46 centres d’accueil ruraux sont ouverts[40], dont un à Nibelle[41]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, et le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[42]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, ceux préférant rester sont regroupés au camp de la verrerie des Aydes, à Fleury-les-Aubrais[41].
Un maquis se constitue à Nibelle en 1944 et plusieurs parachutages d'armes et de matériel ont lieu dans les champs à proximité du village.
En 2016, la commune est membre du SITOMAP de la région Pithiviers, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 3], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[48]. Un réseau de huit déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune de Beaune-la-Rolande[49]. L'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective sont effectuées dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL[50], installé à Pithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchèteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchèteries ainsi que les refus du centre de tri[51].
Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[53]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat des eaux et de l'Assainissement de Nibelle - Nesploy, un syndicat créé en 1964[54],[55] la commune elle-même[56].
La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[57],[58].
Assainissement
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[59], est assurée par le Syndicat des Eaux et de l'Assainissement de Nibelle - Nesploy[60],[61] régierégie[62].
La commune est raccordée à une station d'épuration située sur le territoire communal, mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 500 EH, soit 225 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d'épuration biologique dit « à boues activées ». Son exploitation est assurée en 2017 par Société DMS[63],[64].
Nibelle est située dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription de Pithiviers. La commune possède une école élémentaire publique : l'école Roger-Giry[68].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[70].
En 2021, la commune comptait 1 182 habitants[Note 4], en évolution de +2,34 % par rapport à 2015 (Loiret : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2009, la commune comporte 436 foyers fiscaux, regroupant 1 049,5 personnes. Le revenu fiscal moyen annuel par tête est de 19 906 €[72].
Logement
En 2007, Nibelle comporte 597 logements. 403 sont des résidences principales, 168 des résidences secondaires et 26 ne sont pas occupés. Il y a 570 maisons individuelles (95,5 %) et 23 appartements (4,5 %). Sur les 403 résidences principales, 327 sont occupées par leur propriétaire, 66 par des locataires et 9 occupées à titre gratuit.
Composition des logements
Nombre de pièces
1
2
3
4
5 ou plus
Nombre de logements
8
30
87
95
184
Nature des logements, en 2007.
Occupants des logements, en 2007.
Nombre de pièces des logements, en 2007.
319 habitations (53,4 %) disposent d'au moins un emplacement de stationnement. Le prix du logement va de 1 154 €/m² à 2 947 €/m² pour une maison[73]. Le Diagnostic de performance énergétique (DPE) moyen est de 299 kWhep/m².an[74].
Économie
Nibelle est un village agricole et d’élevage (1 124 hectares de terres et prés) où les petites et moyennes entreprises (PME) et les entreprises agricoles emploient près d'une centaine de personnes résidant sur la commune ou sur les communes avoisinantes. En 2000, il y a quinze exploitations agricoles, occupant un total de 9 km²[75]. Il y a une tuilerie artisanale[A 1]. En 2007, il y a 38 entreprises industrielles, 15 entreprises de services aux particuliers et deux commerces, un de plus de 120 m² de superficie et un de moins de 120 m²[76].
Entreprises industrielles par secteur d'activité[77]
Secteur d'activité
Industries extractives
Alimentation
Fabrication de produits industriels divers
Construction
Commerce et réparation d'automobiles
Transports
Hôtellerie et restauration
Immobilier
Services
Administrations publiques
Autres activités de services
Nombre d'entreprises
1
2
3
12
5
2
5
1
4
2
1
Entreprises de services à la personne par secteur d'activité[78]
Secteur d'activité
Poste
Réparation d'automobiles et de matériel agricole
Menuiserie
Plomberie
Électricité
Construction
Coiffeur
Restaurant
Agences immobilières
Nombre d'entreprises
1
1
1
4
1
3
1
1
2
En 2007, la population en âge de travailler est de 544 personnes. La population active est de 425 personnes (78,1 %) et la population inactive de 119 personnes (21,9 %). Sur les 425 personnes actives, 391 (92 %) ont un emploi (220 hommes et 171 femmes) et 32 (8,0 %) sont au chômage (17 hommes et 15 femmes). Sur les 119 inactifs, 47 sont des enfants (39,5 %), 36 des étudiants (30,3 %) et 36 sont classés comme « autres inactifs » (30,3 %)[79].
Tourisme
Le campingLe parc de Nibelle[80] est un camping quatre étoiles, offrant 110 emplacements et 15 mobil-homes sur une superficie de 10 ha. Il possède une piscine et une aire de jeux pour enfants[81].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le château du Hallier, construit par Charles de l’Hospital en 1544, est situé à l’écart du bourg. C'est une propriété privée qui ne se visite que de l’extérieur. Le château a été bâti entre le Moyen Âge et la Renaissance. Avec ses courtines de brique et pierre, il est cantonné de dix grosses tours. C'est un exemple de demeure de transition entre le château fort et la résidence de plaisance. Il a été inscrit aux monuments historique en 1967[A 2].
Musée des Terres Cuites, ouvert en 2017 : ce musée présente des céramiques découvertes durant des fouilles ainsi que la collection d'Émile Rivière, le dernier potier de la cité[85].
Anciennement musée Saint-Sauveur, ce musée municipal est géré depuis 2018 par l'association Histoire et patrimoine qui a pour mission d'animer ce lieu de mémoire. Il a été entièrement rénové en 2019-2020.
Le village de Nibelle a développé pendant des siècles deux activités principales liées à son environnement géographique : l'activité potière et les anciens métiers du bois et de la forêt. Le musée s'articule naturellement autour de ces deux thèmes.
Musée des Terres cuites.
Personnalités liées à la commune
Jean Leseurre (1892-1964), ingénieur aéronautique français, est décédé dans la commune.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Cartographie des zones naturelles protégées sur Nibelle », sur cartelie.application.developpement-durable.gouv.fr l'application cartographique du Ministère de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables (consulté le ).
↑Conseil Général du Loiret. Les sifflets de Nibelle. 30 juin 1998. La « bouelle », y est décrite comme une sorte de cruche en forme de chien reprise sur le blason de la commune. Consultation : mars 2008.