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Le Mouvement pour la libération de Saguia el-Hamra et Wadi el Dhahab, aussi appelé le Mouvement de libération (en arabe : حركة تحريرHarakat Tahrir), Mouvement pour la libération du Sahara, Organisation avancée du Sahara ou simplement Parti musulman[1] était un mouvement marocain sahraoui créé à la fin des années 1960 par Mohammed Bassiri, journaliste marocain et maître coranique.
Son objectif était le renversement pacifique de la domination coloniale espagnole et le retour au sein du Maroc du Sahara occidental. Il s'est initialement organisé et a fonctionné en secret, et a révélé son existence lors d'une manifestation à Laâyoune (El-Aaiun) contre la domination espagnole en 1970, tentant de remettre une pétition aux dirigeants coloniaux espagnols appelant à un meilleur traitement et à l'indépendance du Sahara occidental.
La manifestation a été immédiatement réprimée violemment par les forces coloniales. Le massacre et les troubles qui se sont ensuivis ont été nommés soulèvement de Zemla, d'après le lieu où s'est déroulée la manifestation. S'ensuit une traque nationale des membres du mouvement : Bassiri lui-même est arrêté et « disparaît » en détention espagnole. Il est supposé avoir été tué par ses geôliers et est considéré par le Maroc comme un martyr des temps modernes (le front polisario , qui revendique le Sahara occidental , a également tenté de s'approprier son héritage, arguant que le Harakat Tahrir était intéressé à obtenir l'indépendance en tant que nation distincte du Maroc) et ce bien que la famille de Bassiri ait confirmé son allégeance au Maroc [2]
Après l'écrasement du Harakat Tahrir, les nationalistes marocain ont abandonné l'espoir d'une fin pacifique à la domination coloniale. Il y avait toujours le Mouvement révolutionnaire des hommes bleus qui persistait dans le pacifisme depuis 1969. En mai 1973, le Front Polisario se forme sous la direction d'El-Ouali, appelant à la révolution armée contre la domination espagnole. Le Polisario, toujours actif, a ensuite tourné ses armes contre les forces marocaines et mauritaniennes qui ont envahi le Sahara occidental lors du départ de l'Espagne en 1975.
Notes et références
↑Ángel B. Espina Barrio, Emigración e Integración Cultural. Antropología en Castilla y León e Iberoamérica, V, Salamanca, Ediciones Universidad de Salamanca – Aquilafuente, 50, (ISBN84-7800-710-5), p. 121