Michel Viala fait sa scolarité au collège Calvin et suit les cours de l'École des beaux-arts de Genève, puis il se forme à plusieurs métiers du domaine artistique. Il voyage ensuite pendant plusieurs années en Afrique et en Asie avant de se mette à écrire pour la radio et le théâtre où il met également en scène plusieurs pièces. Il a également coécrit le scénario du film L'invitation de Claude Goretta[2].
Il met plusieurs pièces en scène, tant en Suisse qu’à l’étranger. Il devient par la suite scénariste de cinéma et de télévision et comédien, en particulier pour créer ses propres œuvres[3]. Ses textes ont presque tous été joués ou réalisés. Certains ont été traduits en plusieurs langues. Il a reçu le prix SACD en 1984 pour l’ensemble de son œuvre[4].
Comédien
Michel Viala en tant qu'acteur a participé aux réalisations suivantes.
Il est l'auteur d'une cinquantaine de pièces de théâtre traduites dans plusieurs langues et jouées en Suisse, en France, en Russie, au Canada et en Hongrie[9]. Plusieurs de ses textes ont été publiés, parmi lesquels :
L'Arbre qui ne voulait pas mourir, Orbe (Suisse), Bernard Campiche éditeur, , 399 p. (ISBN978-2-88241-241-6)
Poésie choisie, Bernard Campiche éditeur, coll. « camPoche », (ISBN978-2-88241-255-3)
Théâtre incomplet I, Orbe (Suisse), Bernard Campiche éditeur, , 543 p. (ISBN978-2-88241-204-1)
↑Alexandre Demidoff, « Michel Viala, vie d’un écorché », Le Temps, (lire en ligne)
↑« Michel Viala, hors système », Swissinfo, (lire en ligne)
↑Joël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN978-2-8399-0379-0), p. 295.
↑ a et bJoël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN978-2-8399-0379-0), p. 302.
↑ a et bJoël Aguet et Joël Aguet (préf. Charles Beer, Jeannine de Haller Kellerhals et François Rochaix), Le Carouge 1958-2008 : Chronique du Théâtre de Carouge-Atelier de Genève, (ISBN978-2-8399-0379-0), p. 305.
↑« Maret », dans Giovanni Lista (Ed.), La scène moderne. Encyclopédie mondiale des arts du spectacle dans la seconde moitié du XXe siècle, Paris/Arles, Éditions Carré/Actes Sud, , p. 676.