Elle naît et grandit à Portland[3]. Pendant ses études à l'université de l'Oregon, elle remporte huit championnats de natation[4]. Le 31 juillet 1926, à 17 ans, elle remporte le concours de beauté Miss Portland, qui lui permet de participer au concours Miss America[2].
À Paris, elle est mannequin pour les vêtements féminins conçus par Jean Patou[5] et fait la couverture de magazines. Elle chante à la radio[6] et est le premier modèle à poser pour la marque de cigarettes Old Gold(en)[7]. Sur scène, on la voit dans Show Boat, Vanities de Earl Carroll(en)[8] et Ziegfeld Follies[7].
En 1936, elle épouse le producteur de dessins animés Rudolf Ising à Las Vegas, au Nevada[9]. Elle se remarie avec le producteur de radio Ed Byron(en) en 1940[10], puis avec Philip Leverett Saltonstall en 1946[11] avec qui elle a une fille ; ils divorcent en 1947[12].
↑ a et b"Maxine Jennings is Miss Portland". The Klamath News. Oregon, Klamath Falls. United News. August 1, 1926. p. 8.
↑ a et bLynn Kear et James King, Evelyn Brent: The Life and Films of Hollywood's Lady Crook, Jefferson, North Carolina, McFarland, (ISBN978-0-786-45468-6), p. 235
↑"Today in Society". The Boston Globe. 21 février 1946. p. 11
↑Dan Thomas, « So the Movies Have A Beauty Shortage », The Californian, California, Salinas, , p. 7 (lire en ligne, consulté le )
↑« Tall Men Wanted », The Indianapolis News, Indiana, Indianapolis, , p. 25 (lire en ligne, consulté le )
↑ a et b« Screen: Items for movie fans », The Evening Sun, Pennsylvania, Hanover, , p. 4 (lire en ligne, consulté le )
↑« Moviegrams », Spokane Chronicle, Washington, Spokane, , p. 23 (lire en ligne, consulté le )
↑Associated Press, « Actress weds », Chicago Tribune, Illinois, Chicago, , p. 17 (lire en ligne, consulté le )
↑« (untitled brief) », Broadcasting, , p. 61 (lire en ligne, consulté le )
↑« P.L. Saltonstall Weds Actress », The New York Times, , p. 38 (lire en ligne, consulté le )
↑United Press, « Maxine Jennings Seeks New Divorce From P. L. Saltonstall », The Boston Globe, Massachusetts, Boston, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )