Mary Jo Bang, née à Waynesville, aux États-Unis, est la fille d'Eugene D. Ward et d'Helen Sergeant, une famille issue d'un milieu humble, sa mère était femme de ménage et son père chauffeur routier. Elle a grandi dans les villes de Ferguson, dans la banlieue de Saint Louis, et de Cool Valley (Missouri)[1],[2],[3],[4],[5].
La poésie de Mary Jo Bang allie richesse de vocabulaire, imagerie subtile et technique avant-gardiste.
Ses thèmes sont divers : philosophiques, formalisme linguistique, postmodernisme, la culture populaire, la mort.
Vie privée
Durant ses études de sociologie elle se marie et aura un fils en 1967[20],[21]. Elle divorcera rapidement après. Elle se remarie en 1978 avec Gary Bang[22].
Le [23], son fils Michael Van Hook décède à l'âge de 37 ans[21], à la suite d'une mauvaise prescription pharmaceutique, cette épreuve lui fera envisager l'écriture comme la continuité d'un dialogue avec son fils[20], son livre Elegy lui est dédié[21].
(en-US) The Downstream Extremity of the Isle of Swans : Poems, University of Georgia Press, mars 2001, rééd. 14 mai 2001, 80 p. (ISBN978-0-8203-2292-6, lire en ligne)[34]
(en-US) A Doll for Throwing : Poems, Graywolf Press, , 88 p. (ISBN978-1-55597-781-8),
co-écrit avec Calvin Bedient, Susan Briante, Lucie Brock-Broido, Jericho Brown, Stephen Burt, Joshua Clover & Carolyn Forché, Poems for Political Disaster, Boston Review, , 62 p. (ISBN978-1-946511-01-0),
Notices dans des encyclopédies et manuels de références
(en-US) Michael Collier (dir.), The New American Poets: A Bread Loaf Anthology, Hanover, New Hampshire, University Press of New England, , 280 p. (ISBN9780874519648, lire en ligne), p. 13-16,
(en-US) Jeffrey H. Gray, James McCorkle & Mary Balkun (dir.), The Greenwood Encyclopedia Of American Poets And Poetry, volume 1 :A -- C, Westport, Connecticut, Greenwood Press, , 357 p. (ISBN9780313330094, lire en ligne), p. 84-85,
(en-US) Heather McHugh & David Lehman, The Best American Poetry 2007, New York, Scribner Book Company, , 169 p. (ISBN9780743299732, lire en ligne), p. 4-7,
Articles
(en-US) Mary Ellen Benson, « Turning Life and Death into Poetry », Washington University in Saint Louis Magazine, (lire en ligne),
(en-US) Jennifer Kronovet, « A Talk with Mary Jo Bang », Stop Smiling, (lire en ligne),
(en-US) David Orr, « In Memoriam », The New York Times, (lire en ligne),
(en-US) Susan Killenberg McGinn, « Poet’s perfect profession », The Source / Washington University in Saint Louis, (lire en ligne),
(en-US) Susie DeFord, « Mary Jo Bang: The Bride of Alliteration by Susie DeFord », Bomb Magazine, (lire en ligne),
(en-US) Karla Kelsey, « The Bride of E », Constant Critic, (lire en ligne),
(en-US) Astri von Arbin Ahlander, « Mary Jo Bang: On Learning, Self-Discipline, and Taking the Road Less Traveled », 99U, (lire en ligne),
(en-US) « Six Poets, Six Questions: Mary Jo Bang in Conversation », Academy of American Poets, (lire en ligne)
(en-US) Mike Melia, « Q&A: Mary Jo Bang’s Translation of ‘Inferno’ Offers a Fresh Taste of Hell », PBS News Hour, (lire en ligne),
(en-US) Jennifer K. Dick, « The World Anew: Mary Jo Bang and Jennifer K. Dick in Conversation », Academy of American Poets, (lire en ligne)
(en-US) Katrine Øgaard Jensen, « How the Hell: Mary Jo Bang on Inferno and the Craft of Translation », Columbia: A Journal of Literature and Art, No. 53, , p. 160-166 (7 pages) (lire en ligne)
(en-US) « In love with language: An interview with U.S. poet Mary Jo Bang », The Tico Times, (lire en ligne),
(en-US) Kevin Young, « Mary Jo Bang Discusses Purgatorio », The New Yorker, (lire en ligne),