Elle intègre ensuite le Centre d’Ethnologie Social en 1972 où elle participe à des recherches sur l’enfance et l’environnement[1]. Elle devient membre du CNRS[2], et du Centre Edgar-Morin. Après la publication en 1983 d'une étude sur les mariages franco-mauriciens[3], elle consacre plusieurs ouvrages à l'évolution des modes de consommation et à une sociologie des habitudes de consommation[4],[5],[6],[7]. Elle s'intéresse aussi à l'évolution des traditions autour des fêtes religieuses comme Noël[2],[8].
↑Ariane Chemin, « Martyne Perrot, sociologue au CNRS : “Une tradition qui fait preuve d'une capacité d'adaptation extraordinaire” », Le Monde, (lire en ligne)