Elle donne de nombreux concerts, dans lesquels elle mêle musique contemporaine et musique ancienne (à l'époque en cours de redécouverte). Elle se produit salle Pleyel le 29 janvier 1932 pour « la première séance de chants et danses du folklore », sous la patronage de la Fédération régionaliste française[1].
Dans la presse, son nom peut être orthographié Bracquemont, et combiné avec celui de ses maris : Angot-Bracquemond[note 1] ou Bracquemond-Henriod[note 2].
Elle a été photographiée par le studio G.-L.Manuel (Lucien et Gaston Manuel, fondé en 1900)[2].
Compositions
Noël, 4 voix mixtes et orgue. Paris, Éditions musicales de la Schola cantorum et de la Procure générale de musique [1953]. In-fol, 2 p.[3]
Trois pièces pour quatuor à cordes (accordées à un "M. Angot-Bracquemont" par certains journaux)
Noëls Percherons (Manuscrit De Moutiers, 1608 ; d'après la pochette du disque, une copie en existe au musée-bibliothèque de Saint-Calais), sous l'égide de « Échanges et rencontres au pays percheron », association fondée par Maurice Henriod et animée par le chanoine Jean Aubry.
Chantres et musiciens de la Réforme, disque 33t (1959)[4]. Marthe Bracquemond y joue Variations sur un vieux Noël.
Notes et références
Notes
↑Elle fut mariée à Alfred Michel Angot le 3 juillet 1920 ; divorce le 21 juillet 1924.