Après avoir effectué sa peine, il participa à la Guerre d'Espagne du côté des Républicains. Il devint commissaire politique du bataillon Đuro Đaković qui faisait partie des Brigades internationales. Après la fin de la guerre, en 1939, il rentra en Yougoslavie, où il fut désigné comme membre du comité central du Parti communiste croate ; un an plus tard, il participa à la 5e conférence nationale du parti. Peu après, il fut arrêté par les autorités et interné dans la prison de Lepoglava, dont il réussit à s'échapper.
Après l'invasion de la Yougoslavie par les forces de l'Axe en 1941 et l'établissement de l'État indépendant de Croatie (NDH), le parti envoya Orešković préparer le soulèvement armé de la région de la Lika, sa région d'origine. L'insurrection remporta un succès certain, notamment en raison des persécutions subies par les populations locales serbes de la part du nouveau régime des Oustachis. Orešković, avec son expérience de la guerre, devint bientôt l'un des chefs les plus populaires de la région[1].
En , Orešković devint le premier commissaire politique des détachements de Partisans de la Lika et, peu après, devint membre du Quartier général suprême de Croatie. Mais, tandis qu'il était à Drvar pour se concerter avec d'autres chefs insurgés, il fut tué lors d'une embuscade organisée par les Partisans serbes de la région[1].