Marina Di Guardo naît le à Novare, d’origines siciliennes[1],[2]. Elle travaille comme vice-directrice du showroom de Blumarine(en), avant de se tourner vers l'écriture[3],[4]. Elle est la mère de Chiara Ferragni[5].
Elle fait ses débuts en fiction en 2012 avec le roman L'inganno della seduzione, publié par la maison d'édition Nulla Die. En 2014, elle publie Non mi spezzi le ali chez le même éditeur. En 2015, elle publie dans la collection numérique ZoomFiltri de Feltrinelli dirigée par Sergio Altieri Bambole gemelle. À l’occasion des cinq ans de ZoomFiltri, elle est sélectionnée pour un ouvrage qui recueille quinze textes des meilleurs auteurs de la collection[6]. En 2016, elle publie l'ebook Frozen bodies chez Delos Books.
En 2017, elle change d’éditeur pour Mondadori, et publie le roman Com'è giusto che sia[7]. L’ouvrage la fait voyager partout en Italie et est décrit par le critique Gian Paolo Serino comme « la révélation de l'année »[8].
Le , Mondadori publie le thrillerLa memoria dei corpi[9], pour lequel les droits de réalisation d'un film sont vendus[10] et dont la traduction en langues étrangères est prévue[11]. À partir de 2019, elle est également chroniqueuse dans la revue télévisée Mattino Cinque sur Canale 5[12].
Le , elle publie le roman noirNella buona e nella cattiva sorte chez Mondadori[13],[14].
Son dernier roman, Dress code rosso sangue, sorti chez Mondadori en , se déroule dans le monde de la mode milanais.