Après un diplôme de commerce en 1990, elle obtient en 1998 un diplôme d’éducatrice de santé, de nutritionniste, et de Biothérapeute au Collège européen d’hygiène et de médecine naturelles à Pully. Elle travaille ensuite comme naturopathe à Sion[1],[2].
En , elle est nommée coordinatrice de l'association Dialogai[3]. Elle reste trois ans à ce poste[2].
Elle obtient en 2006 un certificat de formation continue en développement durable. Elle occupe alors un poste de chef de projet auprès de la Fondation pour le développement durable des régions de montagne, à Sion, jusqu'à la fin 2020[2].
En 2001, elle la coordinatrice[4] et le visage de la Lesbian and Gay Pride & Friends à Sion[5]. Attaquée violemment par des opposants comme le groupement RomanDit formé par Dominique Giroud, elle a été parfois surnommée « La Jeanne d’Arc de Sion »[6]. Cependant, la pride de 2001 réunit plus de 15 000 personnes, comme espéré par Marianne Bruchez[7],[8]. En 2015, à l'occasion de la seconde marche des fiertés valaisannes, elle explique que « La violence avant la Pride de 2001 montrait que le sujet méritait d’être abordé »[9].
Slow Up Valais central
Depuis 2009, elle est cheffe du projet du Slow Up en Valais central, qui réunit 20 000 personnes lors de sa première édition[10].
↑Yann Gerdil-Margueron, « La crise de Dialogai devrait favoriser la fusion des associations homosexuelles », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
« Marianne Bruchez », sur Fondation pour le développement durable des régions de montagne
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Blaise Crittin, L'image du Valais « Vieux-Pays » dans le discours médiatique, dans le contexte de la Lesbian and Gay Pride & Friends 2001. Sion., Fribourg, Université de Fribourg, , 171 p. (lire en ligne).