Il est connu pour son ouvrage, « particulièrement remarquable »[2] sur Le Lied romantique allemand (1956). Son ouvrage Musique du son, musique du verbe (1954) expose les principes de son enseignement en esthétique. « Un des rares critiques qui ont traité avec bonheur ce difficile sujet que constitue les rapports du mot et de la musique[2]. »
Sa femme Olga Maria Rubin, née le 8 avril 1907 à Vienne, Autriche, et décédée le 17 avril 1998 à Saint-Germain-en-Laye, était une artiste peintre[3] qui a illustré certains ouvrages de son époux[4],[5]. Elle était la sœur du compositeur autrichien Marcel Rubin. Une exposition de ses œuvres a été faite à Vienne en 1984 ainsi qu'un catalogue[6].
Son petit-fils Christophe Beaufils est écrivain, auteur de Josephin Péladan : 1858-1918: essai sur une maladie du lyrisme en 1993 et de La Mort subite du nourrisson en 1997[7].
Comment l'Allemagne est devenue musicienne (Paris, Laffont, 1983) Thèse de doctorat soutenue à Lyon en 1942, sous le titre Par la musique vers l'obscur
Christ noir, poèmes originaux de Marcel Beaufils d'après les poètes Noirs J. Cotter, C. Cullen, G. Douglas Johnson, O. Leland Bohannan, L. Hughes, C. Mac Kay, J. Toomer, W. Cuney, des Spirituals et des chansons populaires anciennes, hors-texte originaux de Olga Maria Rubin-Beaufils. Abbaye du livre, Lausanne, 1946[1].
Poids d'une vie. Frontispice de Olga-Maria Rubin Beaufils, 1947