Marc Margotin, né le à Reims et mort le à Épernay, est un architecte français de style Art déco. Il est l’auteur des plans d’immeubles rémois et de villas de La Baule.
En 1920, associé à Louis Roubert, il restaure l’hôtel de La Salle à Reims[2].
Il dessine en 1928 à La Baule, avec Adrien Grave et Louis Roubert, la villa balnéaire Anto[3] ; celle-ci est référencée comme patrimoine exceptionnel de la localité[4].
Il est également l’auteur, en 1929, de la maison située au 1, rue des Tournelles à Reims[5], qui reçoit le label « Patrimoine du XXe siècle » en [6]. Il conçoit des plans pour des bâtiments situés à Blois en 1949 et à Nancy en 1967[1].
Il est inspecteur départemental de l'Urbanisme et de l'Habitation au ministère de la Reconstruction et du Logement en 1967[1].
Alain Charles, La Baule et ses villas : le concept balnéaire, Paris, Massin, , 213 p. (ISBN2-7072-0444-7, BNF38890407)
Alain Charles est architecte DPLG et DEA en histoire de l'architecture, spécialiste du balnéaire[8],[9].
Colette David (photogr. Stéphan Ménoret), Les villas de La Baule : des bourgeoises modèles aux excentriques rigolotes, La presse de l’Estuaire, , 95 p. (ASINB009P12Q4I)
Laurent Delpire, « Urbanisme et architecture balnéaire : histoire d'un phénomène de société, l’exemple du Pays de Guérande », Les cahiers du Pays de Guérande, no 52, (ISSN0765-3565)
Laurent Delpire est historien de l’art, conservateur des antiquités et objets d’art de Loire-Atlantique.