En , un différend foncier donne lieu à un affrontement meurtrier entre les Kotoko de Maltam et les habitants d'un hameau voisin, Maïnabou, principalement des Arabes Choa[2].
Lors de l’offensive des forces rebelles sur N'Djaména en , des milliers de réfugiés tchadiens sont d'abord accueillis à Kousséri, puis transférés vers un camp permanent à Maltam[4], où leurs conditions de vie dans un environnement désertique sont très difficiles[5].
↑ a et bBureau central des recensements et des études de population, Répertoire actualisé des villages du Cameroun : Troisième recensement général de la population et de l'habitat du Cameroun, vol. 4, t. 7, , 435 p. (lire en ligne [PDF]), p. 177
↑ a et bAntoine Socpa, « Affrontements entre Arabes et Kotoko à Maltam et Maïnabou en juillet 1990 », Démocratisation et autochtonie au Cameroun: trajectoires régionales différentes, LIT Verlag Münster, 2003, p. 222-224 (ISBN9783825869977)
En attendant Maltam..., film documentaire réalisé par François Dupaquier, FrontView production, , 26 min 09 s [4] (après l'offensive des rebelles sur N'Djamena, des réfugiés tchadiens attendent à Kousséri leur transfert vers le camp en construction de Maltam)
Liens externes
Makary, sur le site Communes et villes unies du Cameroun (CVUC)