Madar-e ghalb atomiMadar-e ghalb atomi
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Madar-e ghalb atomi (مادر قلب اتمی, titre international : Atomic Heart Mother) est un film iranien d'Ali Ahmadzadeh[1]. Produit en 2013, sorti au Festival du film de Berlin en 2015, il a été présenté au 17e Festival international du cinéma indépendant de Buenos Aires, au Festival du film de Los Angeles et au Festival international du film d’Odessa en 2015 et projeté au 65e Festival international du film de Berlin, au 16e Festival du film asiatique de San Diego et au Festival du film de Zurich ; mais il n’a été autorisé à être projeté en Iran qu’en 2017, après quelques modifications requises par le Ministère de la Culture et de l’Orientation islamique. TitreLe titre du film est une référence à Atom Heart Mother, une chanson de Pink Floyd. SynopsisL’intrigue se déroule aux débuts du « Plan de réforme des subventions » de Mahmoud Ahmadinejad et s’étend sur une seule nuit. Deux amies, Arineh et Nobahar, roulent dans les rues de Téhéran après avoir quitté une fête à minuit. Après avoir rencontré leur ami Kami, qui va émigrer vers l’Australie, ils provoquent un accident de la route. Un mystérieux étranger, Toofan, leur dit qu’il a réglé le problème de l’accident en payant l’autre conducteur et semble attendre quelque chose en échange. Ici, l’intrigue passe du réaliste (située dans les milieux de la jeunesse téhéranaise chic) à l’effrayant et à la métaphysique, lorsque Toofan (qui pourrait être une incarnation du diable) ne cesse de réapparaître, parlant de dictateurs morts, d’armes de destruction massive et de mondes parallèles[1]. Le réalisateur a déclaré à propos du film, après sa projection au Festival de Berlin :
Fiche technique
Distribution
Notes et références
Liens externes
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