Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Los cuatro muleros est une chanson populaire espagnole.
Elle a été compilée par Federico García Lorca dans sa Collection de Chansons Populaires espagnoles,[1] et interprétée par des artistes tels que La Argentinita ou la soprano Teresa Berganza[lower-alpha 1].
En 1931, Federico García Lorca et “La Argentinita” se réunissent pour enregistrer cinq disques pour le label La Voix de son maître[3]. Les dix thèmes choisis parmi la musique traditionnelle espagnole sont : Zorongo gitano, Los cuatro muleros, Anda Jaleo, En el Café de Chinitas, Las tres hojas, Los mozos de Monleón, Los Pelegrinitos, Nana de Sevilla, Sevillanas del siglo XVIII et Las morillas de Jaén. C'est “La Argentinita” qui interprète la majeure partie des titres, accompagnée par Lorca au piano. Seul Anda Jaleo est également accompagné par un orchestre[4]:
« De los cuatro muleros,
que van al campo,
el de la mula torda,
moreno y alto.
De los cuatro muleros,
que van al agua,
el de la mula torda,
me roba el alma.
De los cuatro muleros,
que van al río,
el de la mula torda,
es mi marío.
A qué buscas la lumbre
la calle arriba
si de tu cara sale
la brasa viva. »
Autres versions
La chanteuse et actrice mexicaine Rosa de castilla(es) l'a interprétée avec l'accent andalou dans le film Dos corazones y un cielo (1959).
La chanteuse espagnole Flor de Córdoba l'a enregistrée pour RCA Victor en 1963[5].
L'artiste espagnole Paquita Rico l'a enregistrée sous le titre « El quinto de los cuatro » pour Discos Belter(es) en 1966.
Notes
↑De la larga lista se pueden entresacar nombres como los de Ana Belén, Estrella Morente, la versión coreográfica del bailaor Antonio, o la instrumental de Los Pekenikes.
↑Existen numerosas versiones de esta canción, desde la que se hizo popular durante la Guerra Civil, convirtiendo los cuatro muleros en cuatro generales, hasta la de Paco de Lucía a la guitarra, pasando por la aberración de Emilio el Moro(es).