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Le , c'est près de 4 000 personnes défilent dans le calme et les applaudissements des 120 000 spectateurs[1].
Controverses
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Dominique Giroud finance une page de publicité dans Le Nouvelliste pour y faire passer des idées homophobes et contre la Lesbian and Gay Pride & Friends, avec le slogan « Tantes à Sion, tentation diabolique »[2],[3]. Il lance également, avec l'association RomanDit, une pétition pour interdire la manifestation[4] qui atteint 6 000 signatures[5],[3]. À la suite d'une plainte, le site internet de RomanDit a été fermé pour homophobie ; un mois plus tard, Dominique Giroud a tenté de remettre le site en ligne sous un autre nom et il a à nouveau été fermé[6].
MgrNorbert Brunner, évêque de Sion au moment de la manifestation, avait qualifié l'événement de « jeu diabolique »[5],[3].
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Blaise Crittin, L'image du Valais « Vieux-Pays » dans le discours médiatique, dans le contexte de la Lesbian and Gay Pride & Friends 2001. Sion., Fribourg, Université de Fribourg, , 171 p. (lire en ligne).