Située dans le nord du département et au bord de la Manche, la commune du Tréport possède une plage de galets au pied des falaises de craie et un port. La commune a pour origine l'estuaire de la Bresle, petit fleuve côtier, long de 72 kilomètres[1].
Le Tréport est relié à la gare, par les lignes 502 (dite « 3 Villes Sœurs », effectuant des circuits entre Le Tréport, Mers-les-Bains et Eu)[2] et 519 (permettant d'atteindre la gare routière de Dieppe) du réseau Nomad géré par la région Normandie[3].
La localité est également desservie par les lignes d'autocars no 701 (de Mers-les-Bains à Amiens par Oisemont), no 702 (de Mers-les-Bains à Abbeville par Friville) et no 732 (du Tréport à Abbeville par Feuquières) du réseau Trans'80, géré par la région Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[4].
Jusqu'en 1932, le centre-ville du Tréport est relié à Eu (à partir de 1902) et à Mers-les-Bains (à partir de 1904) par le tramway Eu - Mers-les-Bains / Le Tréport.
Le funiculaire du Tréport relie la partie haute et la partie basse de la ville de 1908 à 1941 et depuis 2006.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Pays de Caux, frais, humide et pluvieux, légèrement plus frais que dans le Cotentin[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 769 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 16 km à vol d'oiseau[8], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Urbanisme
Typologie
Au , Le Tréport est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Eu[Note 1], une agglomération inter-régionale regroupant six communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[13],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Eu, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (45,6 %), zones urbanisées (26,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,8 %), forêts (2,7 %), prairies (0,9 %), zones humides côtières (0,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 4 195, alors qu'il était de 4 197 en 2013 et de 4 153 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Tréport en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (33,3 %) supérieure à celle du département (3,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 43 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (41 % en 2013), contre 53 % pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 4].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
33,3
3,9
9,7
Logements vacants (en %)
9,7
8,1
8,2
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ulteris portum, Ultris portum, Ulteris portu en 1059 ; Ulteriori Portu et Ulterisportus au XIIe siècle, Ulterisportensis en 1149, Ulterisportum en 1150 ; Ulterisportensi en 1152 ; Ultrisportus en 1153 ; Ecc. Ultrensis Portus au XIIe siècle ; Ecc. Ultriportus en 1161 ; De abbate de Tresport en 1184 ; Au Troisport en 1286 ; Ecc. Sancti Jacobi de Ulteriori Portu en 1200 et 1202 ; Saint Michiel du Tresport en 1282 ; « L'abbé et le convent du Troiport » en 1292 ; Au Treport en 1307 ; Au Troisport et le Tresport en 1339 ; Le Trepport en 1340 ; Par. du Trepport en 1384 ; Le Tresport en 1390 ; Treport en 1715 (Frémont) ; Le Tréport en 1757 (Cassini)[19].
Mentionné au XIe siècle sous les formes latinisées Ulteris portum et Ultris portum, d'un bas latin non attesté *Ultrensis portus « le port qui est au-delà », celui-ci se situant en aval de la ville d'Eu. La forme picardele Troiport, parfois citée au Moyen Âge, ne s'est pas maintenue[20].
La vocation de station balnéaire du Tréport a débuté sous le règne de Louis-Philippe, quand la famille de ce souverain, résidant régulièrement à Eu, inaugura la mode des bains de mer. La grande bourgeoisie parisienne ne tarda pas à faire construire des villas sur le front de mer et à y mener une vie mondaine jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Le tramway a été installé à cette époque en corollaire.
La plupart des villas ont été détruites lors des opérations militaires de 1944, ce qui explique la présence d'une architecture typique de la Reconstruction, particulièrement en bord de mer.
Un collège du Tréport porte le nom de Rachel-Salmona, en mémoire d'une fillette de dix ans déportée en , subissant le sort de son père Vitali quelques mois après lui, au camp d'Auschwitz avec sa sœur, sa mère et sa grand-mère, après avoir été internée à Dieppe et au camp de Drancy.
L'armée allemande craignant pendant l'ensemble de la Seconde Guerre mondiale un débarquement en Normandie, a fait percer la falaise de plusieurs galeries pour y bâtir des défenses dirigées vers la mer. Ces galeries, dont l'ensemble porte le nom de Kahl-Burg, sont accessibles et visitables aujourd'hui[22].
La paix et la reconstruction ont ramené un retour du tourisme populaire et de la vie balnéaire.
Une huîtrière, où l'on dégustait les produits de la mer à la sortie même des bassins, se situait tout au bout de la jetée, juste au-dessous des falaises, après le funiculaire. Lieu pittoresque et populaire, l'huîtrière ferma ses portes dans les années 1970.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Eu[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Seine-Maritime, la liste PCF-PS-EELV menée par le maire sortant Alain Longuent obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 440 voix (66,35 %, 24 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant très largement celle FN menée par Pierre-Étienne Lemarechal (730 voix, 33,64 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 42,47 % des électeurs se sont abstenus[24].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste PCF-PS-EELV menée par le maire sortant Laurent Jacques — élu en 2016 après la mort de son prédécesseur Alain Longuent —, obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 203 voix (72,99 %, 24 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant très largement celle SE menée par Cédric Mompach (445 voix, 27 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 54,49 % des électeurs se sont abstenus[25].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].
En 2021, la commune comptait 4 424 habitants[Note 4], en évolution de −10,35 % par rapport à 2015 (Seine-Maritime : −0,14 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'activité de pêche au Tréport est ancienne, partagée avec d'autres ports dont celui de Dieppe[39]
Un projet d'éolien offshore qui était à l'étude depuis plusieurs années, porté par EMDT, filiale du groupe Engie, et appuyé par le conseil régional de Normandie, a reçu le feu vert du gouvernement le : il s'agit d'un parc éolien de 62 éoliennes (de 8 mégawatts (MW) chacune[40]) qui sera implanté, entre 14 et 24 m de fond, à 17 km au large de Dieppe et à 15,5 km du Tréport[41]. Le , après deux enquêtes publiques ouvertes en octobre, le conseil départemental de la Seine-Maritime a également émis (à l'unanimité) un avis favorable au projet, estimant qu'il s'agit d'un « projet d'avenir, aux enjeux économiques importants, qui s'inscrit dans l'objectif du Grenelle de l'Environnement qui fixe à au moins 23 % la part des énergies renouvelables dans la consommation énergétique d'ici 2020 »[42]. La production attendue est de 2 000 gigawatts-heures (GWh) d'électricité par an, de quoi alimenter environ 850 000 personnes (environ les deux tiers de la population de Seine-Maritime, selon EMDT)[40]. Malgré les études montrant l'« existence d’un effet de type « récif artificiel » associé aux fondations des éoliennes, très nettement observée au sein des parcs déjà construits, et ce après un an seulement. Selon ces observations, l’implantation de parcs éoliens en mer semble favoriser l’augmentation locale de biomasse et de biodiversité marine, ce qui pourrait avoir un effet positif sur les communautés de poissons »[43] (par exemple, selon une étude danoise, au pied des parcs éoliens de Horns Rev et Nysted, la biomasse en organismes benthiques fixés sur le substrat a augmenté d'un facteur 50 à 150[44]), ce projet a reçu de vives critiques des pêcheurs locaux (relayés par leurs municipalités de Dieppe et du Tréport), qui craignent[45] que ce parc fasse fuir les poissons ou les rende plus difficiles à approcher[40].
La mise en exploitation est prévue pour 2021 (son autorisation[46] prendra fin si les installations ne sont pas mises en service dans leur intégralité le ). Le Département de Seine-Maritime en attend 120 emplois directs sur le bassin Dieppe-Le Tréport, pour l'exploitation, la maintenance, le contrôle et la surveillance, alors que « l'implantation d'usines de fabrication d'éoliennes au Havre permettra quant à elle la création d'environ 750 emplois et le recours à plus d'une soixantaine d'entreprises locales durant la phase de construction ».
Bateau de pêche rentrant au port.
Un pêqueu (pêcheur) ravaudant ses filets près du funiculaire.
Allan Vermeer chante Le Tréport dans la chanson du même nom, présente dans l'album Je vous ai attendue (2005, Marianne Mélodie / Sony BMG).
À la télévision et au cinéma
La cité portuaire, à l'image de quelques villes environnantes, attire souvent les caméras. Y sont tournés entre autres :
Le film d'Agnès Merlet Le Fils du requin, tourné au Tréport, ainsi qu'à Ault.
Un épisode de la série L'Instit (saison 1, épisode 3, Concerto pour Guillaume, avec Robinson Stévenin) avec l'acteur Gérard Klein, a été tourné dans la ville du Tréport. Les élèves de l'école y tiennent les rôles de figurants.
Le téléfilm de Jérôme Foulon Il n'y a pas d'amour sans histoires avec Clémentine Célarié.
Eugène Berthelon (1829-1916) : Ancienne jetée du Tréport, un jour de tempête, présentée au Salon des Artistes français de 1889. Gros temps pendant les travaux de la jetée du Tréport, 1898 - Marée basse au Tréport, 1908[55].
L'heure du bain, 1882, peinture d'Évariste Carpentier qui séjourna au Tréport.
Falaise près du Tréport, toile d'Albert Huyot qui vint au Tréport en 1928.
Paul Paray est un chef d'orchestre et compositeur français, né le au Tréport et mort le à Monte-Carlo. Son père, sculpteur sur ivoire, remplit aussi les fonctions de maître de chapelle au Tréport. Paul Paray composa en hommage à sa ville natale sa symphonie no 2, Le Tréport (1936-1939).
Georges Onésime Choquart est un résistant français, né le au Tréport et mort le à Mers-les-Bains.
Jehan Le Povremoyne (1903-1970), romancier, conteur, nouvelliste et poète, y est mort.
Louis Boisson (1908-1991), homme politique, y est mort.
Héraldique
Blason
D’azur aux deux navires de sable, équipés d’argent, pavillonnés de gueules, voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe, quittant la jetée du port d’argent, maçonnée de sable, sur laquelle un guetteur, aussi de sable, tient haut un pavillon de gueules, le tout accompagné au canton senestre du chef d’un croissant contourné d’or adextré d’une étoile du même[56]. Devise : « sequanae inferioris ulterior portus ».
Désiré Le Beuf, Eu et Le Tréport : guide du voyageur dans ces deux villes, le Livre d'histoire, (réimpr. 2006), 175 p. (ISBN978-2-84373-967-5, BNF40967080).
Dany Laurent et Gérard d'Aboville (avant propos) (préf. Alain Becchia), Le Tréport et ses gens de mer aux XVIIIe et XIXe siècles : étude d'histoire démographique et sociale d'un port normand, aspects généraux, Le Tréport, Association Les enfants du Vieux Tréport, , 157 p. (BNF41103662).
Alain Minard, Histoire du Tréport : une ville normande : des premiers âges à l'aube du XXe siècle, Ault, Association Aquarello découvertes, , 249 p. (ISBN2952503109, BNF41458718).
Jules Périn et Paul Cagé, Le Tréport & Mers-les-Bains à la Belle époque, Inval-Boiron, la Vague verte, coll. « Jusant », , 94 p. (ISBN2356370307).
Christophe Belser, Les villes sœurs : Eu, Le Tréport, Mers-les-Bains, Patrimoines & médias, coll. « Il y a 100 ans, en cartes postales anciennes », , 132 p. (ISBN978-2-36459-042-7, ISSN1956-5917, BNF44288941).
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Eu comprend deux villes-centres (Eu et Le Tréport) et quatre communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN2-7084-0040-1, OCLC6403150).
↑André Plaisse, La grande chevauchée guerrière d'Édouard III en 1346, Cherbourg, Éditions Isoète, , 111 p. (ISBN2-905385-58-8), p. 12.
↑« Disparition. Le maire du Tréport est décédé : Alain Longuent, maire PCF du Tréport en Seine-Maritime, est décédé samedi 16 janvier 2016. Il était âgé de 68 ans », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Le maire Alain Longuent est décédé : Après un long et courageux combat contre la maladie, Alain Longuent, le maire du Tréport, est décédé hier soir à l'âge de 67 ans », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le )« Âgé de 67 ans, il était maire de la commune depuis 1998 et élu depuis 1977 ».
↑Jerôme Buresi, « Alain Longuent réélu, en son absence : Suite aux élections municipales, les nouveaux élus ont été installés samedi matin. Alain Longuent a été réélu maire, en son absence. Un hommage a été rendu à Jean Garraud. », L'Informateur - L’Éclaireur, (lire en ligne).
↑Jérôme Buresi, « Laurent Jacques, nouveau maire du Tréport : Samedi 30 janvier, un conseil municipal a eu lieu au Tréport. Suite au décès d'Alain Longuent, c'est Laurent Jacques qui a été élu maire », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Laurent Jacques, président du Pays Bresle-Yères », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Bloqué depuis deux ans, le Pays Bresle-Yères, désormais baptisé Pôle d’équilibre territorial et rural (PETR), prend un nouveau départ. Laurent Jacques, maire du Tréport, a été élu président de cette structure, voulue par l’État et qui réunit les communautés de communes des Villes sœurs (CCVS) et de Blangy-Aumale (CCBA). Il sera secondé par trois vice-présidents, dont son prédécesseur Claude Vialaret (ancien maire de Blangy), Yves Derrien (maire de la ville d’Eu) et Jack Bacouël (maire de Ramburelles, CCBA) ».
↑Xavier Togni, « Laurent Jacques réélu maire du Tréport : Réuni dans l’immense salle Reggiani, lundi 25 mai, le conseil municipal a réélu Laurent Jacques maire du Tréport. Il a appelé l’opposition à se montrer constructive », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le )« Arrivé largement en tête du premier tour, avec 73 % des voix, il a tout de même pointé le fort taux d’abstention, de nombreux Tréportais n’ayant pas osé se déplacer à cause du virus, et reconnu qu’il avait « forcément influencé le résultat ». (...) Laurent Jacques a été reconduit avec 24 voix, contre trois à Cédric Mompach, chef de file de l’opposition ».
↑Collins, J. (1984). La flotte normande au commencement du XVIIe siècle: Le Mémoire de Nicolas Langlois (1627). In Annales de Normandie (Vol. 34, No. 34, pp. 361-380). Université de Caen.
↑« A », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
↑Lucas Farcy, « Tourné au Tréport, Été 85 est diffusé sur France 2 dimanche soir : Deux ans après sa sortie en salle, le film été 85 est diffusé à la télévision sur France 2, dimanche 29 mai 2022. L'occasion de voir de belles images du Tréport (Seine-Maritime) », L'Informateur d'Eu, (lire en ligne, consulté le )« Les équipes de tournage étaient restées trois semaines dans la cité portuaire, permettant ainsi de tourner de belles images en mer, sur la plage ou encore dans le quartier de la Croix de Pierre ».