Le Parisien Week-end
Le Parisien Week-end, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Week-end en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal Le Parisien (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis . Diffusé chaque semaine à environ 420 000 exemplaires[1], ce magazine est édité par la société LPM, filiale du Parisien. Avant son changement de nom en 2017, il était intitulé Le Parisien Magazine, ou Aujourd'hui-en-France Magazine en province[2]. Positionnement et contenuLe magazine a été créé par Jean Hornain, il demande alors à Frédéric Allary[3], ancien directeur général de l'hebdomadaire culturel Les Inrockuptibles, de créer le titre de celui-ci. Ce magazine se veut « surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité », selon Thierry Borsa, alors directeur des rédactions[4], interrogé à la création du titre. Épais d'une centaine de pages, le magazine se découpait initialement en trois parties. La première, baptisée « Week-end », traitait de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite « Grand angle », s'intéressait aux sujets de fond : économie, international, société, etc. La troisième et dernière, la section « Plaisirs », était plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech, etc. Quelques dates importantesLe , Arnaud Montebourg fait la couverture du magazine habillé en marinière pour un article de fond sur le « made in France »[5]. Le dossier sera récompensé du Prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine[6]. En , à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de La Liberté guidant le peuple, le tableau de Delacroix[7]. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée. En , peu après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler se confie au Parisien Magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde[8],[9], expliquant notamment : « je n'aimais pas les ors de l'Élysée ». Notes et références
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