De façon générale, les langues ouraliennes se répartissent actuellement en sous-groupes bien caractérisés, mais les relations plus anciennes de ces sous-groupes sont peu claires et peu étudiées et rendent difficile de les rassembler en branches plus larges[1].
Annexes
Notes et références
↑(en) Tapani Salminen, « Problems in the taxonomy of the Uralic languages in the light of modern comparative studies », dans Лингвистический беспредел: сборник статей к 70-летию А. И. Кузнецовой, Moscou, Presses Universitaires de Moscou, (lire en ligne), p. 44-55