La Secrétaire particulière (film, 1931)La Secrétaire particulière
Elsa Merlini pendant le tournage dans les studios de Cines en 1931.
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. La Secrétaire particulière (La segretaria privata), est une comédie de téléphones blancs italienne réalisée par Goffredo Alessandrini et sortie en 1931. Le premier long-métrage d'Alessandrini est la version italienne du film allemand La Secrétaire privée avec Renate Müller. Une version française (Dactylo, avec Marie Glory), une version hongroise (Mesék az írógépröl, avec Lili Berky), une version anglaise (Sunshine Susie, avec Renate Müller) et une version espagnole (Historia de una maquina de escribir) ont également été réalisées. Tous ces films sont adaptés de l'opérette Mesék az frógépröl d'István Békeffy et du roman homonyme d'István Szomaházy publié en 1905. SynopsisElsa Lorenzi, une jeune provinciale, arrive dans la grande ville pour y trouver un emploi de dactylo. Installée dans une pension pour femmes seules, elle trouve un emploi dans une grande banque et noue de bonnes relations avec ses collègues. Cependant, Elsa se heurte rapidement à l'hostilité du chef du service du personnel, qui l'a engagée dans un but libidinal. Un soir, tard dans la nuit, Elsa rencontre Roberto Berri, un directeur de banque, qu'elle prend pour un simple employé. Ils sortent ensemble, mais Elsa rejette ses avances en disant qu'elle veut épouser quelqu'un qui a plus de succès. La relation compliquée entre Elsa et Roberto passe par une série de difficultés et de malentendus, mais tout se termine bien. Fiche technique
Distribution
ProductionDésigné par beaucoup comme précurseur du courant des téléphones blancs, La Secrétaire particulière est un remake de La Secrétaire privée, un film-opérette tourné en Allemagne par Wilhelm Thiele. Alessandrini a accepté de tourner le film alors que les versions anglaise et française étaient déjà en cours de réalisation. Alessandrini venait de rentrer en Italie après un long séjour à Hollywood, où il avait travaillé comme directeur du doublage à la Metro-Goldwyn-Mayer. Ni le réalisateur ni Merlini n'avaient imaginé à quel point ce film deviendrait populaire, avec la chanson que chantait l'actrice (Oh come son felice, felice, felice...) et le mythe de Cendrillon réactualisé pour l'époque[3]. Notes et références
Liens externes
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