La Liberté du Morbihan est le titre que prend, dès le , le quotidien du soir Le Morbihan Libéré, quotidien de la Résistance dont le premier numéro, paru le , est daté du 6. Le dernier numéro sort le .
Présentation
C'est aussi le qu'est pris l'arrêté du préfet du Morbihan, Jacques Onfroy, entré en fonction le , qui autorise la publication de « La Liberté du Morbihan » et lui attribue les stocks de papier et le matériel du Nouvelliste.
Le premier directeur du nouveau journal est un résistant, journaliste professionnel, Jean Le Duigou, qui restera à ce poste jusqu'à la mi- avant de se consacrer à nouveau au journalisme.
En est constituée une SARL au capital social constitué de 23 actions de 5 000 Francs chacune:
les dix-sept autres furent attribuées à des personnalités politiques (des socialistes et des démocrates-chrétiens) et des membres de différentes professions.
« La Liberté du Morbihan » s'installe à nouveau à Lorient en [1].
Quotidien du soir depuis sa création La Liberté passe en parution du matin en au moment où le journal va se fait imprimer à Nantes chez Presse-Océan. Cette réorganisation technique n'arrivera pas à relancer un journal où les pages lorientaises diminuent en parallèle avec le lectorat. Le dernier numéro sort le [2].