Il est particulièrement actif dans les environs de la ville et réalise par exemple la tour de l'horloge de Valergues[4]. Au début du XXe siècle, Léopold Carlier devient conseiller municipal de Montpellier sous le mandat du maire Paul Pezet[3].
Son fils, Louis Carlier, qui l'assiste dès 1903, continuera de marquer l'architecture de la région[3]. On lui doit par exemple la Caisse d'Epargne de Montpellier (2 Boulevard Ledru-Rollin)[5], le casino, l'église de Palavas. Son petit-fils, René Carlier, poursuit l'activité, et co-signe notamment en 1954 la poste centrale de Rondelet à Montpellier avec Marcel Chappey[3].
↑ abcdef et g« Une dynastie d’architectes en Languedoc-Roussillon : Léopold, Louis et René Carlier, 1870 -1970 », Le journal du conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement de l’Hérault, no 93, (lire en ligne [PDF])