La ville possède des bornes d’approvisionnement en eau. Les villages alentour ne sont pas connectés à l'eau courante, ce qui a un impact sur la scolarité des enfants qui doivent parcourir des dizaines de kilomètres pour approvisionner leurs familles en ration quotidienne d'eau[5].
↑ ab et cRépertoire actualisé des villages du Cameroun. Troisième recensement général de la population et de l'habitat du Cameroun, Bureau central des recensements et des études de population, vol. 4, tome 7, 2005, p. 212 [1]
Antoinette Hallaire, Paysans montagnards du Nord-Cameroun : les monts Mandara, ORSTOM, Paris, 1991, 253 p. (ISBN2-7099-1028-4)
Jean-Jacques Lucas, Étude épidémiologique des helminthiases intestinales dans la région de Koza (Nord Cameroun), Université de Bordeaux, 1981 (thèse de médecine)
Catherine Mannschott, Étude épidémiologique du paludisme dans la région de Koza (Nord Cameroun), Université de Bordeaux, 1981 (thèse de médecine)
Inyas Mbuzao (et al.), Actes des apôtres en pays mafa : les débuts de l'Église catholique à Djingliya et à Koza, Diocèse de Maroua-Mokolo, Cameroun, Diocèse de Maroua, 2008, 154 p.
Christian Seignobos et Olivier Iyébi-Mandjek, Atlas de la province Extrême-Nord Cameroun, Paris, IRD Éditions, , 171 p. (ISBN9782709922920, lire en ligne).