Il atteint en 1995 la finale du concours de l'Eurovision des jeunes danseurs. En 1999 il reçoit le prix du Cercle Carpeaux.
Commandeur des Arts et Lettres
Caractéristique
Sa danse puissante, engagée et généreuse[3] fait de lui l'interprète idéal des rôles noirs au sein des ballets[4].
Habitué des remplacements au pied levé lors de blessures d'autres danseurs[5], Karl Paquette gagne une réputation d'homme providentiel auprès d'une partie du public[6].
↑Karl Paquette, étoile de l’Opéra de Paris : « Parisien de naissance, j’ai toujours été imprégné de cette vie trépidante... », article par Marie-Astrid Gauthier du 10 mars 2010
↑« Karl Paquette drew applause for his huge circles of grand jetes and [...] Karl again with his series of “fouettes” of which I counted about 25. », Ballet Magazine, octobre 2009.
↑« Paquette danse de manière très physique, avec une énergie et un dynamisme remarquables. Il ne se ménage pas et nous propose un Abderam blond énergique, séducteur en diable. C’est un danseur généreux, capable en ce moment de passer d’un éblouissant Oiseau de feu de Béjart à ce rôle très Noureev avec une égale réussite et une égale joie de danser. Exemplaire. », Gérard Mannoni, Altamusica, décembre 2008.
↑« Although he is constantly called upon to replace injured étoiles. », Ballet Magazine, avril 2008.
↑« Casting him in virtually every possible leading role seems to have paid off, as he delivered an excellent variation, with flashes of near-virtuosity. », Ballet Magazine, avril 2008.