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Justin-Marie Lequien Ne pas confondre avec le sculpteur Justin Lequien (1826-1882).  Pour les articles homonymes, voir Lequien.   Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
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Justin-Marie Lequien
Justien-Marie Lequien, né le à Paris, mort le à Villevallier, est un sculpteur français. BiographieJustien-Marie Lequien, né le à Paris[1]. Son père est également sculpteur et avait fondé une école de dessin et de modelage en 1835, rue de Mesnilmontant à Paris. D’abord élève de son père, Justien-Marie Lequien entre ensuite dans l’atelier de Félix Lecomte, puis celui de François-Joseph Bosio, à l'École des beaux-arts de Paris[2]. En 1819, il est récompensé par un deuxième prix de Rome[Note 1] avec son Énée blessé à la cuisse, guéri par Vénus. Il est surtout connu pour avoir dirigé, jusqu’en 1878, l’école municipale de dessin du Xe arrondissement de Paris, rue de Chabrol, fondée par les frères Dupuis en 1836. Son fils reprendra plus tard sa succession à ce poste. Parmi ses élèves les plus éminents de Justin-Marie Lequien, on note le nom de Georges Seurat, l’un des pionniers du pointillisme. Il est également professeur à l’École Turgot[Note 2] entre 1839 et 1879. Il épouse Anne Bloch qui lui donnera un fils, Justin Lequien (1826-1882), également sculpteur[Note 3]. Justin-Marie Lequien demeure au no 15 de la rue Bréguet lorsqu'il est nommé chevalier de la Légion d'honneur le [3]. Il meurt le à Villevallier (Yonne)[1],[Note 4]. Distinctions
Collections publiques Notes et référencesNotes
Références
Sources
Bibliographie
Iconographie
Liens externes
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