Les pièces de Julie Berès abordent les questions de société et traitent de politique. Pour Notre besoin de consolation qui interroge la GPA, Julie Berès va rencontrer en Inde des mères porteuses dans une clinique spécialisée, et au Danemark le directeur d'une banque de sperme[4]. Désobéir traite de l'asservissement des jeunes filles par la religion. Pour cette pièce, Julie Berès a collecté les témoignages de 80 femmes[5]. En 2018, Soleil Blanc traite du réchauffement climatique[6]. En 2021, dans La Tendresse[7], elle s'intéresse aux masculinités des jeunes générations, dans la période post- MeToo[8],[9],[10].
Dans le même mouvement de théâtre documentaire, s'inscrit la metteuse en scène Marie Mahé qui se serait inspirée de La Tendresse pour sa pièce Viril(e.s)[11].
Clara Prieur et Cécile Schenck, La chorégraphie comme langue du fantasme dans le théâtre de Julie Bérès : danser le fantasme dans "Petit Eyolf" (2015), "Lendemains de fête" (2013), "Sous les visages" (2008) et "On n'est pas seul dans sa peau" (2006), Paris, Université de la Sorbone (OCLC993436233).
↑Marie-Pierre Genecand, « A Bienne, après Meyrin, des jeunes hommes explosifs parlent de virilité et le public est fasciné - Le Temps », Le Temps, (ISSN1423-3967, lire en ligne, consulté le )
↑Encyclopaedia Universalis, Dictionnaire du Théâtre: Les Dictionnaires d'Universalis, Encyclopaedia Universalis, (ISBN978-2-85229-552-0, lire en ligne)
↑(en) Ralf Remshardt et Aneta Mancewicz, The Routledge Companion to Contemporary European Theatre and Performance, Taylor & Francis, (ISBN978-1-000-91364-4, lire en ligne)