Il pratiqua différents genres littéraires mais c'est surtout dans le champ de la narration et du roman qu'il s'est exercé et que son talent a bénéficié d'une large reconnaissance. Il est considéré comme l'un des plus grands écrivains argentins contemporains[2].
Biographie
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Il s'installe à Paris en 1968 et enseigne notamment à l'université de Rennes[6]. Il obtint le prix Nadal en 1987[6] pour son roman L'Occasion (La ocasión).
Cicatrices, traduction de Philippe Bataillon, Seuil, 2003 (ISBN978-2-02043-857-5) (Première traduction par Albert Bensoussan sous le titre Le Mai Argentin, Denoël, coll. « Les Lettres nouvelles », 1976)
↑Juan José Saer : « Mis padres eran inmigrantes sirios. Nos trasladamos a Santa Fe en enero de 1949. En 1962 me fui a vivir al campo, a Colastiné Norte, y en 1968, por muchas razones diferentes, voluntarias e involuntarias, a París. Tales son los hechos más salientes de mi biografía », cité dans : (es) Luis Fuente Pérez, Juan José Saer y La grande: último tango en la Zona, Literature, (lire en ligne), p. 7.
↑Axel Gasquet, L'intelligentsia du bout du monde : les écrivains argentins à Paris, Mario Goloboff, Luisa Futoransky, Arnaldo Calveyra, Juan José Saer, Silvia Baron Supervielle, Héctor Bianciotti, Kimé, coll. « Détours littéraires », , 378 p. (ISBN9782841742790, lire en ligne), p. 14.
Laurent, Pénélope, L’œuvre de Juan José Saer, L'Harmattan, 2014. (ISBN9782903945329)
Guéguen, Perrine, “Grande Fugue”, Le Diable probablement, Éditions Verdier, n°4, printemps 2008, p. 128.
Laurent, Pénélope, « Glosa ou l’art de l’imposture », Le texte et ses liens II, Ateliers du Séminaire d’Amérique Latine, sous la direction de Milagros Ezquerro, Université Paris IV, Paris Sorbonne, réalisation Julien Roger, 2007.
Premat, Julio, « La zona anegada », in Formes brèves de l'expression culturelle en Amérique latine de 1850 à nos jours, América, n° 18(1), Tome I, Presses Sorbonne Nouvelle, , p. 270-279.
Larrañaga-Machalski, Silvia, Littérature, réel et imaginaire dans l'œuvre de Juan José Saer, Paris III, 1995.
Études en espagnol
Bermúdez Martínez, María, La incertidumbre de lo real : bases de la narrativa de Juan José Saer, Oviedo, Universidad de Oviedo, 2001.
Corbatta, Jorgelina, Juan José Saer : arte poética y práctica literaria, Buenos Aires, Corregidor, 2005.
« Argumentos de Juan José Saer : transgresión de géneros y estética de lo fragmentario », in Formes brèves de l'expression culturelle en Amérique latine de 1850 à nos jours, América, n° 18(1), Tome I, Presses Sorbonne Nouvelle, , p. 281-290.
“Juan José Saer : la locura de lo real”, in Locos excéntricos y marginales en las literaturas latinoamericanas, Tome 2, Joaquin Manzi, coordinadateur, Poitiers, Centre de Recherches Latino-Américaines-Archivos, 1999, p. 541-552."
Ezquerro, Milagros (ed.) : El lugar de Saer, Montpellier, Ed. du CERS, 2002
Gramuglio, María Teresa (ed.), Juan José Saer por Juan José Saer, Buenos Aires, Editorial Celtia, 1986.
Premat, Julio :La dicha de Saturno. Escritura y melancolía en la obra de Juan José Saer, Rosario, Beatriz Viterbo, 2002.