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Reçu au concours de l'École des beaux-arts de Paris après la guerre, il est admis dans les ateliers du peintre Jean Dupas et de René Jaudon pour la lithographie.
L'influence espagnole
Lauréat du prix de la Casa de Velázquez, Jean Joyet séjourne pendant deux ans à Madrid, de 1951 à 1952[1]. Ce séjour, où il perfectionne sa connaissance du castillan qu'il parle couramment, ainsi que son admiration pour Goya influencent profondément son œuvre de peintre et de graveur. Ses paysages et scènes de corridas, mais aussi ses caricatures d'hommes politiques français gravées sur cuivre, témoignent de cette influence.
En 1951, Jean Joyet épouse une artiste peintre condisciple des Beaux-Arts, Marcelle Deloron. Il est sélectionné pour le Prix Drouant-David de la Jeune Peinture en 1955[2].
Le peintre et le sculpteur
Dans les années 1960, Jean Joyet peint des maternités, des enfants, des nus, et se consacre de plus en plus à la sculpture.
Carnets d'Espagne (1951-1966), 73 reproductions de peintures et aquarelles exécutées lors de ses séjours en Espagne, éditions de Vialoube, 1993, (ISBN2877880117).
Jean Berteault, La Jeune Fille et la Mort, L'Amitié par le Livre, 1980.