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Né à Ferot-Ferrières dans les Ardennes liégeoises le I949, Jean-Pierre Otte vit depuis les années quatre-vingt à Larnagol, au domaine d'Arnal, dans le département du Lot[1].La romanciére Myette Ronday est sa compagne dans la vie.
Écrivain et peintre, il est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages ayant trait aux mythologies cosmogoniques du monde, aux rituels amoureux du monde animal et aux aventures de la vie personnelle au bénéfice même de la présence au monde et du plaisir d'exister.
Après des humanités scientifiques, il devient auditeur libre à l'Université pendant quatre années. Avide de savoir, il étudie des disciplines aussi diverses que la biologie, la physique, la philosophie, les mythologies du monde, les littératures du monde entier. Encouragé à ses débuts d'écriture par André Pieyre de Mandiargues et Anaïs Nin, il écrit des brefs récits et des poèmes, publie un recueil : Pouhon bleu la veillée dont de larges extraits seront repris en 1974 dans La Nouvelle Poésie Française (Seghers).
En 1976 paraît son premier roman (Le Cœur dans sa gousse) et dès 1978, il vit exclusivement de sa plume et de sa voix. Outre son travail d'écrivain, il multiplie les activités : chroniqueur dans les journaux (La Libre Belgique, Le Monde, plus récemment dans Les Hors-série du Nouvel Observateur, L’Express et Notre Histoire). Conteur à la radio (RTBF, France Culture). Depuis 1990, conférencier régulier dans plusieurs universités espagnoles et pour l’Alliance française en Europe de l'Est.
Spécialiste des mythes de la création, Jean-Pierre Otte les a transcrits pendant une dizaine d’années dans Les Matins du Monde. Il s’adonne aussi à la botanique et l’observation des insectes et manifeste son allégresse de vivre dans ses Histoires du plaisir d’exister et la Petite tribu de femmes. Il a reçu le prix Nature de la Fondation de France, jury présidé par Jean Dorst de l’Institut des Sciences Naturelles ; prix décerné pour la rigueur scientifique et la qualité littéraire de ses travaux en botanique et en entomologie. Il a aussi reçu le prix Verdickt-Rijdams de l'Académie pour ses travaux en ethnographie, sa transcription des mythes de la création des civlisations tribales.
En 2013, non satisfait de l'évolution du roman de Jules VerneMichel Strogoff, il réécrit à sa manière la dernière partie de l'ouvrage[2].
Il reçoit le Prix Max-Jacob 2023 pour son œuvre poétique.
Certains ouvrages ont été traduits notamment en Chine, aux États-Unis, en Italie, en Grèce et en Russie. Une vingtaine de mémoires et de thèses universitaires ont déjà été consacrés à son œuvre.
Jean-Pierre Otte, le peintre, s'est lié très tôt d'amitié avec Raoul Ubac et Serge Vandercam du mouvement CoBrA. Depuis sa première exposition en 1984 dans le hall du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles à l'une de ses dernières et rares expositions personnelles à la galerie Jane Bastien-Art (qui présente des peintres tels que Henri Michaux, Olivier Debré et Zao Wou-ki), il poursuit une recherche en une suite de phases et de périodes, débute par des calligraphies inventives, réalise des «Œuvres au noir», puis une série « D'or et d'Ombre », les techniques mixtes sur toile ou sur papier marouflé des « paysages partagés » et du « Monde rendu au monde ». Plus récemment, des fantasmagies, des peintures à la cire d'abeille mêlée de pigments.
Bibliographie
1. Les Fables de l’enfance
Le Cœur dans sa gousse (Robert Laffont, La Renaissance du Livre)
Julienne et la rivière (Robert Laffont, La Renaissance du Livre)
Blaise Menil mains-de-menthe (Robert Laffont, Espace Nord, La Renaissance du Livre)
Nicolas Gayoûle (Robert Laffont)
Les Gestes du commencement (Robert Laffont)
2. L’Amour au naturel
L’Amour au jardin (Phébus, Libretto, France-Loisirs)
L’Amour en eaux dormantes (Julliard)
L’Amour en forêt (Julliard, Pocket)
La Sexualité d’un plateau de fruits de mer (Julliard, Pocket, Le Grand Livre du Mois, France Loisirs)
La Sexualité domestique (Julliard)
Amours en vol (Julliard)
L’Épopée amoureuse du papillon (Julliard)
Les Amours de Sailor le chien (Julliard)
La Vie amoureuse des fleurs dont on fait les parfums (Julliard)
3. Les Matins du monde
Mythes de la création du cercle polaire à l'Océanie
Les Aubes sauvages (Seghers)
Les Aubes enchantées (Seghers)
Les Naissances de la femme (Seghers, Le Grand Livre du Mois)
Le Chant de soi-même (Julliard)
Le Feu sacré (Julliard)
Les mythes de la création -Les Aubes sauvages, Les Aubes enchantées, Les Naissances de la femme-Les Belles Lettres