Après une thèse de 3e cycle en sciences en 1966 sur les gallates de terres rares[3],[4]il devint professeur de physique à Orléans, il a suivi en parallèle des études théâtrales et obtenu une bourse du CNC pour réaliser premier court-métrage. C'est en 1973 qu'il réalisa son premier documentaire[5]
Entré à Paris 7 en 1971, il a ensuite été le cofondateur du master documentaire à l'université Paris-Diderot[2]
Pour lui, « Parce qu'il puise ses images dans le réel, le documentaire se devrait d'être « vrai ». Son histoire témoigne au contraire de multiples arrangements avec la réalité[6] »
Sur Un peuple, un canal : « J.-L. Berdot s’entretient notamment avec les cinéastes du très actif Grupo Experimental de Cine Universitario, dont le directeur, M. Pedro Rivera, commente quelques-uns des films militants réalisés pour dénoncer l’impudence de l’occupant nord-américain. Il constate, devant des images d’agression, de violence, la nécessité, pour l’Amérique latine, d’un cinéma anti-impérialiste dont ce film de Jean-Louis Berdot voudrait être, en Europe, une efficace illustration. » Ignacio Ramonet, Le Monde diplomatique, septembre 1977[13]
Sur Albanie, autopsie d'une dictature : « La peur plus la manipulation permanente des esprits, tels étaient les principaux ingrédients de cette dictature exemplaire que ce documentaire analyse admirablement. » Ignacio Ramonet, Le Monde diplomatique, janvier 1994[14]
Notes et références
↑Film-documentaire.fr, « Jean-Louis Berdot », sur www.film-documentaire.fr (consulté le )
↑Samia Serri, Jean-Louis Berdot, Monique Chemillier-Gendreau et Michel Alliot, Monique Chemillier-Gendreau: parcours d'une combattante, Université Paris 7 Diderot ,, [dl 2010] (lire en ligne)
↑« Le GREC », sur www.grec-info.com (consulté le )