Il obtient une médaille au Salon de 1810 pour Mort de Gaul, ami d'Ossian[2].
Il est professeur de dessin à l'École impériale de dessin de la rue de l'École-de-Médecine à Paris, puis directeur de l'école de 1831 à 1866. Sur une initiative de Belloc, des cours de sculpture sont dispensés aux arts décos à partir de 1832 (il s'agit alors de sculpture ornementale)[3].
D'une famille d'armateurs nantais ayant fait fortune dans les plantations de sucre à Saint-Domingue, fils d'Hilaire Belloc et de Jeanne Henriette Belzon, il épouse le une Anglaise, Louise Swanton[5], écrivain et traductrice de grands poètes anglais, fille du colonel James Swanton et de Marguerite Chassériau (sœur de Victor Frédéric Chassériau et de Benoît Chassériau). Ils eurent :
Louise Belloc, peintre miniaturiste, épouse du financier Jacques Redelsperger ;
↑Camille Lépouchard, Louise Swanton-Belloc : du bon usage des modèles anglais et américains dans les milieux intellectuels français du XIXe siècle, 1994.
↑Saskia Hanselaar, « Entre classicisme et romantisme, relecture d'une œuvre de Jean Hilaire Belloc », Revue des musées de France, mars 2015, p. 64-74.