Ainé de Jean-Paul de Relongue, comte de La Louptière et de Marie Geneviève Barrât, après avoir fait de bonnes études, La Louptière vint se fixer à Paris, où il coula des jours tranquilles dans le sein de l’amitié, dont il était fait pour goûter les charmes. Ses vers, naturels et faciles, eurent un grand succès dans les sociétés pour lesquelles il les composa, mais le public se montra plus sévère.
↑François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l’histoire & la chronologie des familles nobles de France, l’explication de leurs armes & l’état des grandes terres du royaume, t. 12, Paris, Antoine Boudet, , 2e éd. (lire en ligne), p. 52.
Pour approfondir
Bibliographie
Caroline Rimbault, « RELONGUE DE LA LOUPTIÈRE », Dictionnaire des journalistes (1600-1789), en ligne
La France littéraire : 3e supplément de l’année 1768 pour les années 1762 & 1763, Paris, Duchesne, (lire en ligne), p. 51.
François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse : contenant les généalogies, l’histoire & la chronologie des familles nobles de France, l’explication de leurs armes & l’état des grandes terres du royaume, t. 12, Paris, Antoine Boudet, , 2e éd. (lire en ligne), p. 52.