Didier Anzieu et René Kaës, Chronique d'un groupe - Le groupe du Paradis perdu, collection « Inconscient et culture », Dunod, 1976.
René Kaës, Haydée Faimberg, Micheline Enriquez et Jean-José Baranes, Transmission de la vie psychique entre générations, collection « Inconscient et culture », Dunod, 1993.
Alberto Eiguer, André Carel, Francine André-Fustier, Françoise Aubertel, Albert Ciccone et René Kaës, Le générationnel, collection « Inconscient et culture », Dunod, 1997.
Jean Bergeret et Wilfrid Reid, Narcissisme et états limites, collection « Inconscient et culture », Dunod, 1999.
Sous la direction de Didier Anzieu, Les enveloppes psychiques, collection « Inconscient et culture », Dunod, 2000.
Sous la direction de René Kaës, Souffrance et psychopathologie des liens institutionnels, collection « Inconscient et culture », Dunod, 2005.
Olivier Nicolle et René Kaës, L'institution en héritage - Mythe de fondation, transmissions, transformations, collection « Inconscient et culture », Dunod, 2008.
Sous la direction de René Kaës et Catherine Desvignes, Le travail psychique de la formation - Entre aliénation et transformation, collection « Inconscient et culture », Dunod, 2011.
Sous la direction d'Albert Ciccone, La part bébé de soi - Approche clinique, collection « Inconscient et culture », Dunod, 2012.
« L'évidente intégration dans l'œuvre d'art de la Nature + l'Homme (selon l'expression de Vincent van Gogh), vous la trouverez affirmée dans chaque tableau de Jacques Van den Bussche, qu'il caresse la chair d'un nu féminin ou le pare de la pourpre d'un gilet rouge. » - Guy Dornand[3]
« Avec une économie de moyens - qui est un des privilèges de l'art moderne et le grand apport de l'art abstrait - Van den Bussche, par la seule magie des couleurs, nous plonge au sein de l'orgie cosmique des forces simples. » - André Parinaud[4]
« Des paysages et des ports d'où surgissent des personnages bizarres, des fleurs angoissantes, des arbres d'un autre monde. » - Gérald Schurr[5]
« Il peint des personnages errants. Sa peinture empreinte de préciosité n'est pas sans évoquer celle d'Odilon Redon » - Dictionnaire Bénézit[2].
« Jacques Van den Bussche représente des groupes amiboïdes dont les éléments fusionnent en un immense corps : quelques têtes, quelques membres sont, tels ceux de l'Hydre, les appendices communs. Ces corps confondus, chimériques, protéiformes, figurent l'unité organique première, toujours menacée de morcellement ou de dédoublement. Figurations limites, où l'on ne sait plus où est le corps, où commence le groupe. Une même enveloppe, un même contenant les tient ensemble. » - Gilles J. Guglielmi et Claudine Haroche[6]