Ses études lui permettent d'obtenir un Philosophiae Baccalaureus et un Philosophiæ doctor de l'université d'Oxford en philosophie, où il entreprend des recherches sur la logique modale et non classique sous la supervision de Dana Scott[1].
Jack Copeland est directeur de la Turing Archive for the History of Computing[2], une vaste site d'archive en ligne sur le pionnier de l'informatique Alan Turing. Il écrit également et édite plusieurs livres sur Turing. Il est l'un des responsables de l'identification de la notion d'hypercalcul et des machines ayant plus de capacités que les machines de Turing.
Il est également président de la US Society for Machines and Mentality et membre du Bletchley Park Trust Heritage Advisory Panel au Royaume-Uni. Il est l'éditeur-fondateur de The Rutherford Journal, créé en 2005.
Copeland est désigné lauréat du professeur de l'année 2010 par le syndicat étudiant de l'université de Canterbury[4].
Alan Turing’s Automatic Computing Engine: The Master Codebreaker's Struggle to Build the Modern Computer (Oxford University Press, 2005) (ISBN0-19-856593-3)
Colossus: The Secrets of Bletchley Park's Codebreaking Computers (Oxford University Press, 2006) (ISBN0-19-284055-X)[6]
Alan Turing’s Electronic Brain: The Struggle to Build the ACE, the World’s Fastest Computer (Oxford University Press, 2012) (ISBN978-0199609154)[7]
Turing: Pioneer of the Information Age (Oxford University Press, 2014: Paperback edition) (ISBN978-0198719182)[7],[8],[9],[10]
↑(en) Georgina Ferry, « The Colossus of codes: Georgina Ferry on four new books that tackle the story of Bletchley Park's other decryption machine », The Guardian, Royaume-Uni, .
↑(en) Tom Moriarty, « Turing: Pioneer of the Information Age, by Jack Copeland », The Irish Times, .
↑(en) Colin Hughes, « Review Essay: B. Jack Copeland, Turing: Pioneer of the Information Age (Oxford University Press, 2012) », Logos: A Journal of Modern Society and Culture, vol. 15, nos 2–3,