Dans une maison de campagne, cinq femmes de la même famille attendent le retour du « jeune frère » depuis qu'il a été chassé par son père[5], ce dernier est mort depuis. Elles parlent de leurs espoirs et de leur volonté de quitter le foyer, mais, surtout, elles racontent leur frère, son passé. Elles espèrent ainsi pouvoir vivre à travers lui qui a su partir de la maison.
Cependant, quand celui-ci revient, il arrive mourant[6]. Les cinq femmes commencent alors un deuil, celui du jeune homme et celui de leurs aspirations. Mais c'est aussi là le début d'une nouvelle attente, son retour à la vie[7],[8].
↑Marianne Bouchardon, « La « ponctuation blanche » dans J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce : du bredouillement au bruissement », dans Formes et dispositions du texte théâtral du symbolisme à aujourd’hui : Enjeux littéraires, poétiques, scéniques, Presses universitaires de Franche-Comté, coll. « Annales littéraires », (ISBN978-2-84867-883-2, lire en ligne), p. 191–201
↑Alicia Devaux-Rodriguez, « Pour une lecture ethnocritique de J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne de Jean-Luc Lagarce », Pratiques. Linguistique, littérature, didactique, nos 191-192, (ISSN2425-2042, DOI10.4000/pratiques.10520, lire en ligne, consulté le )
↑Fabrice Chêne, « « J’étais dans ma maison et j’attendais que la pluie vienne », de Jean‑Luc Lagarce, Théâtre Notre‑Dame à Avignon », Les Trois coups, (lire en ligne)