Il occupe les fonctions de ministre du Plan entre le et le et des Finances entre le et le [4], dans un climat économique difficile causé par l'endettement que connaît alors le pays. Il remet ses portefeuilles à la suite d'un remaniement gouvernemental initié par le nouveau Premier ministre Zine el-Abidine Ben Ali.
Il est alors nommé gouverneur de la Banque centrale de Tunisie, poste qu'il conserve lors de l'accession de Ben Ali à la présidence de la République tunisienne et ce jusqu'au . Il occupe alors brièvement la fonction de ministre des Affaires étrangères du 3 mars au . Il devient ensuite ambassadeur de Tunisie aux États-Unis le .
↑ abc et d(en) « Khelil (Ismail) », dans Who's Who in the Arab World 2007-2008, Berlin, Walter de Gruyter, (ISBN978-3-110-93004-7, lire en ligne), p. 481.
↑Mounir Charfi, Les ministres de Bourguiba (1956-1987), Paris, L'Harmattan, coll. « Histoire et perspectives méditerranéennes », , 246 p. (ISBN2-7384-0398-0), p. 174-175.