En 1980, en compagnie de Peter Prescott et de Mary Vitoria, Laddie publie un traité intitulé The Modern Law of Copyright and Design, traité qui est ré-édité en 2007 pour la quatrième fois[4].
Il démissionne comme juge en 2005, affirmant trouver sa tâche ennuyeuse et se sentant seul dans ses positions alors qu'il officie à la cour[5]. Il devient consultant pour Willoughby & Partners, une firme spécialisée dans le droit de la propriété intellectuelle et le bras légal en G.-B. de Rouse & Co International[3]. Il est probablement le premier juge à démissionner de façon volontaire en 35 ans d'existence du High Court et le premier à rejoindre à une firme de solicitors[3].
Il est nommé pour occuper une chaire en droit sur le droit de la propriété intellectuelle au University College London, nomination prenant effet le [6].
Références
↑(en) Jan Harvey, « I am the law », Legal Week, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) « Obituary of Sir Hugh Laddie », IPKat, (lire en ligne, consulté le )
↑ a et b(en) Frances Gibb, « Definitely no regrets: there is life beyond the High Court », The Times, (lire en ligne)
↑(en) University College London, « Communiqué de presse », University College London, (lire en ligne, consulté le )
↑En droit britannique, un juge de High Court s'occupe de causes touchant le droit commercial, le droit sur l'administration des biens et le fidéicommis, ainsi que le droit immobilier. À l'intérieur de ce système judiciaire existent des divisions spécialisées, notamment celles portant sur le droit de la propriété intellectuelle et le droit des compagnies. Pour plus de détails, voir (en) Chancery Division.
↑Il s'agit d'une cour entendant des causes touchant les brevets.
Liens externes
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